• Ben je confirme ... pasque je reviens de chez Cazinos ... la poisse est avec moi !
    Les dieux se sont invités à la fête,
    l'éclair sombre de leur lance
     a touché de sa pointe vectorielle et vengeresse l'espace (non) fonctionnel de ta déesse préférée !
    Enfer et bijection !
    Me voilà prise dans leurs anneaux, car, tels de beaux warriors colombiens, ils m'enserrent, me font de l'effet ... et m'étouffent ! J'exp(e.)re, je râle ... 
    Ô telle l'eau, Ondine, âmie, qui fut ta tombe !


    Primo's,
     pour les promo's tu repassera's ... com'd'hab', quoi ! ;-)
    Cazino's et moi, c'est compliqué ...
    Je me promets chaque fois de m'organiser, de préparer mon expédition, de n'avoir pas à y retourner toutes les cinq minutes,
    que, nan ! cette fois, j'y retournerai pas à cause des pathos !

    Ben voui, je le confessionne,
    le pathos et les ris sont à mon menu ce que Pim's est à la confiture,
    Gros quik au p'tit déj' de mes lares.dons, Hara à Kiri, Johnny à Walker,
    Texas aux Rangers, Quatre à Quatre ... c'est sys.thématique !
    Le drame de ma vie, kôa !

    Mais
    chez Cazino's, c'est aussi la caserne d'Ali Baba :
    des dragibu's, des tagada's, Tsoin ! Tsoin ! Des caramba's, des Choupa's ...
    comment veux-tu que je résiste, face à cette invasion haribosienne
     fruit de prodigalité cazinosienne ?


    Le dilemme de ma vie, vi ! C'est râlant, à la faim !

    D(e.)euzio's,
    il flotte,
    alors, c'est bien plus drôle quand tu dois surfer avec ton chariot (de feu) sur un parking zigzagant parmi les chars, les cheveux dénoués emmêlés dans ta figure maculée de mille gouttelettes sillonnant tes pâles rides ! Ophélie ! Devins !
    Aidez-moi dans ces embouteillages naufrageants !


    Tertio's,
    Darkvador, dieu bordelisator a eu le temps de frapper de sa foudre ubiquitesque chaque recoin de mon doux foyer larien, [À voir : circulez, comme disait Zavata. Viva Zavata !]
    d'où le fait qu'étant un tantinet mâlemenée,
    toujours ruisselante
    [rapport au dieuzo's de tout à l'heure, faudrait suivre, hein ?]
    ,
    je m'offre à présent une couche de poussière qui s'agglutine à ma peau comme la boue à celle de l'éléphant qui vient de trouver un point d'eau dans la réserve de Daktari, et qui s'y vautre comme moi dans ma couette à la fin de ma journée sacrificielle.
    Le bonheur !
    Si ! Si !
    D'ailleurs, je vais aller noyer mon chagrin dans l'ambroisie d'un champomy's et me gaver de chocolat ...
    De souris, j'ambitionne de devenir éléphante ... woman ... d'Espagne ... rapport aux châteaux dont j'ai les plans dans mon dactyl'buro's.
    Je suis une fâââââmmmmme comme les autres !

                                                        par: la déesse, sacrifiée par des dieux (e.)lares


    2 commentaires
  • Ben, nan, je publie pas aujourd'hui ... mais je t'essplique quand même ! [pasque dans ma grande bonté de petite lue divine, j'ai toujours cette incommensurable pitié envers toi qui me perdra, blogueur, blogueuseS (e.)gnares !]

    Les dieux, j'avais oublié de t'en instruire, blogueur, blogueuseS,
    se répartissent en deux catégories.


    Les dieux (e.)lares,
    ceux que tu commences à connaître, et qui président aux destinées D'Oedrhughes, de Persée, de Laïospeugeos, de Mérope ... là ! Youplà ! Boum ! Prospères, pépères, supercalifragilistics, expialidociousiens, ils t'embarquent dans leur manège enchanté, avec Pollux, Castor, Bogdanof, et autres gémeaux intergalactiques dans leur monde impitoyâââââ-â-bleuhhhh.
    Da ! [Là, si, je m'adresse aux lecteurs qui déchiffrent le cyrillique,
    pasque mon panthéon est large, avec ses pattes de babar à tapas, on fait les fous ! ]
    Ces dieux-là,
    je leur sacrifie en racontant leurs pâles mais pitantes (e.)stwares
    quand ma mus(e.)c est bonne !


    Et pis les zôtres ...
    Ceux qui président aux destinées de nos, enfin, mes lares.dons, et qui sont eux zôssi, un tantinet joueurs ... un tantinet ... juste un tantinet ... pas un bridou ... 
    et  qui ont le don de me rendre chèvre ! [On est en Grèce, ne l'oublie pas !]
    Je t'en reparlerai de ces dieux lares, ce n'est pas le micro qui m'empêchera de faire beaucoup de mégabruit, même pour rien, ho ! merde alors ! [je sais, celle-là, tu l'attendais, téléphonée par Ulysse à Nono ...]

    Et donc [nom d'un pétard, ce que j'aime les liens mytho.logics !]
    Aujourd'hui,
    J'organisationne un goûter d'anniversaire pour ma lare.donne :



    D'où le pétard !
    C'est pas trop tôt !
    A propos, je file,  je cours, je vole ...
    je dois sacrifier à l'autel de Cazinos, dieu tutélaire de cette panthéonade,
    à qui je ferai un jour l'offrande d'une publication.

    Promis,
    je vous en reparlerai
    de Cazinos,
    bordel !

                                                         Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.) lares

    2 commentaires
  • Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues  [sous partie 5] [pasque je veux faire plaisir à Microcatos, ma blogueuse préférée. Vi, normalement, je devrais récupérer sous la couette ma folle nuit d'hier, mais ne rêve pas, tu n'en sauras pas plus sur ma vie privée !]


    Mais oui, blogueur, blogueuseS, Oedrhughes s'enhardit, et rosse tant qu'à la fin,
    ses ires, à nos oreilles, parviennent.
    L'ouis tu, le primal cric ?
    [Tiens, voilà  Raphaël qui repasse, avec la bonne ! C'est vraiment n'importe quoi dans ce désert ... on s'demande à qui ça sert, tous ces rêves un peu bizarres ...]
    Ben vi, cher lecteur
    [enfin, pas le deezer ... pasque çui-là, le jour où

    je saurais l'installer, Chewbaka aura le crâne poli comme un oeuf ! Zidane, si tu passes par ici ... plus on est de fous ...] ,
    chère lectrice,
    c'est là qu'est l'os ! Car Wilde, wilde, wilde is the world,
    crois-en Cat, kid, et ses deux doigts !

    Iodaspokos, dans sa poissitude

    [l'était pas loin du Pecq, note ça dans tes tablettes, Grégory ... et lâche cette cape bleue, à la fin !]
    avait téléportationné Oedrhugues au festival d'Avignon'oss !
    "À moi, les subs.temps.tifiques chevaliers !"
    braillait-il, handicapé, aveugle et sourd, conséquemment au noir maelström de son téléportationnement. Interdit, nu, vulnérable,
    face à l'Abbé de l'Épée qui venait de conspuer son beau nez.

    He was back ... mais white.

    Cependant, si l'abbé se gausse, courbé de rire, il n'a point d'esprit,
    nom de Diaud !

    Et Oedrhughes s'embrase, même s'il n'est pas un n(e.)ros de la Rome antique !
    Quand il acoustique qu'on raille son nez, rosse, il fait dans l'urgence,
    il exorcise pour extirper le mâle, hein !
    [Georges, si tu m'entends, sors de ce corps !]

    Et là, tout le monde est sur le pont, à Avignon,
    pour assister au duel d'aux quais.

    CHORAL :


    (La suite pour plus tard, pasque mon capital est principal ... ou le contraire ... quoique ... et que mes cernes vont se transformer en valises, fais la vaisselle ,
    ou Marcelle, hein, Bobby ? 
    La pointe !)

                                                                                
                                                                  Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares

     


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  • Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues  [sous partie 4] [pasque j’ai fini mes corrections, et qu’avant d’en avoir d’autres, pour une fois, j’essaie de ne pas travailler en flux tendu … Microcatos … je te salue !]

     

    Oedrhughes a donc poussé, tel le cep [Cherche pas, il n’ y a pas de jeu de mots ! … j’en n’ai pas trouvé !!! Je suis gentille, j’ai pitié de tes neurones affaiblis par mon verbiage stérile, pas comme la vigne … Je reprends le fil … du tel, et comme tu le vois, c’est reparti !] dont les grappes mûrissent sous le soleil corinthien.
    Corinthien, hein, très étonnant, non ?

    Question de charité, comme le dit Paul de Tarse, le repenti,

    celui qui a rencontré Alf le loup [comment ça c’était un extra terrestre ?] sur le chemin de Damas, et qui, aveuglé par la lumière, a découvert qu’il était le fils naturel de Gilbert le Montagnos et de Steevios Ouonderos. [On est en Grèce, ne l’oublie pas ! …]


    Donc, pile sous le soleil, exactement, en fait, pas à côté, juste en dessous,
    Oedrhughes ,
    euh, Oerdhrughes ? Oerdrhugues ?

    … mince, je viens de me rendre compte que j’avais cafouillé lamentablement avec
    l’aur –tau-
    [tau, blogueur, blogueuseS toujours (e.)gnares, mais un peu moins quand même, grâce à moi ;-), correspond à la lettre T de l’alphabet grec ….] graphe …

     

    [Ici, on est prié d’insérer dans sa lecture une minute de silence par solidarité avec le grand moment de solitude (et si c’était le seul !!!) que je viens de vivre en relisant toutes ces variations de signes dont l’affligeant ballet m’a conduite dans le lac …]

     

    [Eh ! J’ai dit « une minute » ! N’essaie pas de noyer l’omble, chevalier !]


    ...
    ...

     

    Mais regagnons les rives, puisque nous ramons …
    comme disent les feuilles avalées par les ogresques photocopieuses avides de ravir une seconde fois leur virginité pourtant retrouvée grâce au développement durable.
    [C’est là qu’on remarque que le fonctionnariat aiguise le sens de l’observation … Qui est le crétin qui a éloigné les machines à café de leurs jumelles à reproduire ? Pasque que veux-tu qu’on mire, dans cent papiers qui finiront en fumée ou aux ordures dans une étable ???]

     


    Bref, nous voilà sur la rive … et que voit-on ?


    Rien,



    Parce qu’il est bientôt cinq heures du matin, et qu’à cette heure-là,

    il fait encore nuit, que je sache !

     

    Oui, je sais, j’avais dit qu’Oedrhughes était pile sous le soleil, mais j’ai encore le droit de changer d’avis … c’est MON blog , bordel !

     [La mauvaise foi, ça me connaît, et par ricochet, blogeur, blogueuseS … je ne vous oublie pas, les filles ! …

    vous allez connaître aussi !]

     

     

    Et puis même si le héros d’un film de guerre américain nous prêtait sa longue vue infra rouge, on n’y verrait encore …


     

    Rien.

     

    Parce qu’Oedrhughes a disparu !

     

    Pfffffffffffffffffioutttttttttttttt !

     

    Ben voui, téléportationné par Iodaspokos !

     

    L’avait fait une fausse manip !!!

     

     

    Alors, blogueur, blogueuseS, si tu veux le retrouver là où Iodaspokos l’a téléportationné, il va te falloir agiter ton bocal, secouer tes neurones à la mode orangina (Lollo Brigida t’y aidera !).

     

    Avec l’aide d’Armand Jamot, tant en emporte le vent,

     [j’aime autant pas dans une caisse …]

    Déchiffre ces lettres.

     

     

    Mais fais gaffe, comme ils disent chez Dupuiss’.

    Essaie de démêler les fils de la communication

    embrouillés par le pasdebolisme de Iodaspokos …

    et trouve les maux magiques qui te permettront de commenter

    si tu veux continuer à pleurer

    comme le péan sur les malheurs d’Oedrhughes !!!

     

    Sois sphinx et tais-toi, euh, non … en fait … je m’emporte, là ! Reviens, Léon … Décom’ pas !

     

    Sinon … que la poisse soit avec toi !

    Toi, toi, mon toi … là, mate,

    las !

     

     

                                                                      Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares


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  •  

    Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues  [sous partie 3] [pasque ça y est, le ouiquende se finit et que je n’ai pas accompli tous les travaux qui m’attendaient … Héraklès, plombier d’Augias, file-moi des tuyaux ! .., y compris pour colmater cette histoire ! Voyons le bon côté des choses … fidélisons, fidélisons … feuilletonnons, feuilletonnons … parce que je le vaux bien !]

     

    Oedrhughes, est donc recueilli par Phorbas le berger, qui croise Mérope, Raigina, euh, non, Regina [qui veut dire « reine » en latin ! Je ne voudrais pas que ton vernis s'écaillât, ce qui ne me laisserait pas de marbre.] de Corinthe. Celle-ci est malheureusement vieille, [d'où son nom : vieille comme] Mérope est aussi stérile qu’un hansaplast aquaprotect, alors, ni une, ni deux, elle achète le lardon voyageur à Phorbas, et elle le ramène à son mari Polybe, [non, pourtant, rien à voir avec le poneybe] qui qui est tout heureux de cette progéniture tombée du ciel. Puis elle lui tient ce langage : 

    « Amibe, - c’était le petit nom qu’elle lui donnait dans l’intimité - me voilà mère, enfin, sans que je le susse ! Loués soient les dieux ! Nous leur sacrifierons un poulet (mais on gardera la moto, hein !), nous garderons le secret de son origine, et nous aurons un descendant de lion, avec ce lardon, qui n’est pas laid, tu sais ! »

     

                                


     

     

     

     

    Or donc, les années passent et Oedrhughes grandit. [Tu es  prié de remarquer que j’ai été brève et concise sur ce coup-là ! Ça s’appelle une ellipse narrative, quand on étudie les techniques de la narration …]

     

    Il faut quand même que je te dise, blogueur, blogueuse, parce que cela aura son importance pour la suite, que ses parents avaient confié son éducation à un vieux sage.

    Nain, la peau verdâtre, les oreilles pointues, c’était une sorte de schtroumpf vert sans beau nez.
    [Soyons cohérents, s’il avait eu un beau nez, comment aurions-nous su qu’il avait les oreilles pointues ?]

    En fait, j’aurais dû commencer par ça, ma description
     eût été plus percutante .
     [ A l’imparfait, tu as remarqué ? Toujours à l’imparfait les descriptions , sinon, comment veux-tu que le lecteur s'identifie !!! ]

    Il répondait, enfin, quand il entendait,
    car il était un peu sourd aussi (!!!),
    au doux nom de Iodaspokos et sa réputation dépassait de loin
    les limites
    de Startrekos, son village natal.
     [Ici, les chiens aboient et Raphaël passe ... avec les gypsy king ... ça fait beaucoup de monde ...]

    Iodaspokos était même un peu sorcier,
    mais ne répète pas cette confidence blogueur discret 
    [Si tu es une blogueuse, donc de la gente féminine, je sais que c’est plus difficile pour toi de garder un secret, alors suis les conseils du sage Guitryos et trouve-toi des amies pour t’aider …] :
    il se dit, dans les milieux autorisés, qu’il maîtrisait même les secrets de la téléportation .

     Ce pouvoir lui permettait de découvrir le secret des foyers grecs, secrets qu’il confiait à ses amis Ipsos et Lapeyros, de Guirec, village voisin de Startrekos.

    Malheureusement pour lui, il est Grec !

    [Relis la sous-partie 1, je vais pas recommencer, nanmého !
    Par contre, je veux bien t’expliquer la raison de ce présent au beau milieu d’un récit au passé : c’est un présent de vérité générale.]


    Et malgré toute sa sagesse et son talent, Iodaspokos souffre d’un maléfice :
    il porte la poisse ! Ben voui, des dons, voui, des talents d’éducateur, voui,
    mais il transmettait sa poisse aussi, son pasdebolisme, sa guigne … ô lecteur, plains-le ! C’était comme une cerise, mais gâtée par le gel d’un rappel hivernal, sur le gâteau de son enseignement.


    Iodaspokos terminait donc chaque leçon par ce cri languissant 
    qui fendait le cœur de ses disciples,
    émus par l’infâmie que la vindicte des dieux avait fait peser sur ses frêles épaules de nabot ; le lavabo lui-même se fendait le marbre
    à l’énoncé de ces simples paroles argentées dont les gouttelettes annonçaient l’or du silence terminal :

     

     

    « Que la poisse soit avec toi, jeune Oedrhughes ! »

     

     Bon, voilà, j’ai planté le décor, les sardines, les tentes, les personnages, l’ordi …
    Merci Iodaspokos ! La poisse est avec moi !
    [… et s’il n’y avait que moi ! Demande donc à Sofia, prêtresse de Clio ou plutôt, non, ne lui demande pas, je ne voudrais pas que ton conduit auditif fût bouché par une litanie d’insanités incongrues, voire grues tout court ! ]  

    Alors on va peut-être se dépêcher de faire bouger tout ça.

    Je ne suis pas sponsorisée par Morphée, non, je suis comme Ben Hur,
    je ne m’emballerai pas ni n’arrêterai pas mon char. En thèse, je dirais :
    « Pas d’affolage ! »

    Comme disait le grand tragédien Gabin’os,
    j’ai, prim’os, un bon scenari’os, secund’os, un bon scenari’os, et, terti’os, un bon scenari’os, donc, pas d’Os !
    Pas d’Ulysse ! Pas d’Hélas !

    Oedhrughes partira en vadrouille, bordel !

     

    (A suivre …tu verras, blogueur, blogueuseS [le –s, c’est à cause  de la réunion pour le secret de tout à l’heure], on va mettre un tit coup d’accélérateur à ce prologue un peu longuet,
     on va te préparer des spéciales,
    des accidents, des sorties de route,
    des rebondissements et tout et tout
    pour que tu reviennes tout ébaubi de cette aventure de stoquechars
    et que tu trouves que Taxisecundos, à côté c’est de la rigolade pour goss’ ! )
    Niiinnjjjââhhhh 

     [Ipsos, si tu me lis, tu sais ce que mon magnétos  portationne en ce moment …  Arrrgh, du son !]

     

                                                   Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares


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