• [ Rediffusion du 26. 04. 08]

     

    Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhughes  [sous partie 2] [pasque j’ai des machines à laver à mettre en route,  et que je n’ai toujours pas fini non plus le brevet blanc … ah ! les lares, j’vous jure !]

     

     Nous avons laissé Œdrhughes vagissant sous sa mauvaise étoile ...
    Ce n’est pas tant que sa mère était une peau de vache, Yo ! Non !
     C’est qu’elle aussi avait de gros ennuis …

    Ben voui, les ennuis grecs, c’est comme les restaus de la Huchette,
    c’est souvent que ça se refile de pères en fils, de mères en filles, de tantes en neveux, d’oncles en nièces … et caetera.


    Mais on ne va pas trop les plaindre, vu qu’ils ont déjà le tarama, les oliviers, l’huile qui va avec, le soleil, l’aurige de Delphes, la mer, la Venus de Milo et la victoire de Samothrace … Ah, non, c’est vrai, ils l’ont plus, le Louvre les leur a piquéS !
    [COD « les » antéposé, masculin pluriel, auxiliaire « avoir » = accord. Rappel bienvenu au vu des résultats des dernières olympiades !]  . Cependant, quand on voit comment elles sont abîméES, [Là, c’est l’auxiliaire « être », donc l’accord se fait avec le sujet .] ces statues, on se dit qu’il faudait peut-être demander à voir le directeur … (« On l’aura ! », comme ils disent à la Naaf ! ... vi, je pouffe, là !).

     

    Jocaste,
    c’est la mère d’Oedrhughes,
    avait fait un beau mariage, sache-le blogueur, blogueuse,
    elle avait mis la main sur Laïospeugeos, dont le royaume était pétaradant de chars, qui sillonnaient tout le territoire.
    Evidemment, à la naissance de son fils, comme tout Grec masochiste qui se respecte et qui veut connaître la liste des malheurs qui vont s’abattre sur lui, histoire d’être encore plus malheureux que s’il était resté dans l’ignorance
    (Sont fous, ces Grecs !),
    Laïospeugeos se rend à Delphes, dans la roulotte enfumée de la Pythie.

    Roooohhh, la Pythie !

    Drôlement forte celle-là : elle te dévoile ton avenir sans tarots, sans marc (Venise n’existait pas) de café (il n’y avait pas de bistrots non plus, mais des galères, si !), sans que tu aies à lui montrer tes mains pas lavées : bref, une vraie perle de voyante extra lucide !

    Et là : catastrof !!! (nan, pas celle de Tintin, l’éclairage était correct, puisqu’elle était lucide) Le pauvre Laïospeugeos apprend
    que son fils tuera son père (c’est lui)
    et épousera sa mère (c’est elle).
    Et qui c’est qui rigole ? C’est nous !

     

    Donc, Laïospeugeos, qui n’a toujours pas compris, ce crétin, que de toute façon, la prophétie se réaliserait, quoiqu’il fît [subjonctif imparfait, il faut faire la concordance des temps dans un récit au passé : on ne l’a pas encore revu avec les lares.dons de la troisième étoile,  faut toujours que je mâche le boulot !], cherche un moyen de renvoyer ce lardon à sa côte de porc première, car il frise l’apoplexie.

     Comme il a bien écouté sa nounou quand il était petit,
    il se rappelle Blanche-neige, et, vas-y mon coco, il va trouver un vieux soldat : « Caramba ! Débarrasse-moi de ce paquet, et vite fait, sinon, tu finiras enchaîné dans mes fabriques de chars ! »,
    et, paf,
    il lui colle le couffin dans les bras !
    Seulement, le soldat, qui est capitaine et qui ne veut pas être dégradé, a eu,
    ô hasard, Balthazar !,
    la même tata que son roi, et, lui aussi, il a lu Blanche-Neige.
    C’est pourquoi
    [On exprime ici un lien logique de cause à conséquence … ça non plus, on ne l’a pas encore revu, va falloir remanier mes vinaigrettes aux petits oignons … le pied !] il abandonne le pôv’ mouflet dans la forêt.


    Note à l’intention des lares.dons des zôtres : copier, c’est coller,
    vous voyez, vous n’avez rien inventé !!!
     

    Or, dans la forêt se promenait Phorbas
    (dont le desendant, Forban, devint barde et disco-bol avec son tube, ah !, tu te rappelles :  "Danse, danse, danse, et mets tes cnémides …" ?
    Unforgettable, comme disait Natalie Cole, fille de roi, elle aussi.


    Phorbas n’était pas nain,
    et il n’était pas sept, ce n’était pas un mercenaire non plus,
    mais il avait bon cœur
    (de rho cœur …
    nan, j’ai pas honte de mes jeux de mots laids, puisqu’on cause « cnémides » … rho, c’est la lettre « R » de l’alphabet grec, j’ai pitié de ton vernis !) et, faisant foin de toutes ces salades, il recueille le lardon !

     


    (A suivre … on n'apprend pas au vieux linge à faire des limaces, mes chemises sont toujours pas lavées, et puis j’ai promis, décidément, qu’est-ce que je promets en ce moment, de mettre en ligne ce clipos pour les lares.dons, parce qu’un chevalier, très cavalier par ailleurs, a eu la galanterie de me rappeler qu'à cause de la différence d'âge … pffffffffff !)


    Post Scriptum : [Là, c'est du latin, crétin !] Forban le barde avait une prédilection pour les Statunix, c'est pourquoi vous ne verrez pas de chars de Laïospeugeos ...


                                                                                  Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares

     

                     

     

     


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  • [ rediffusion du 25 04 2008]

     

    Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues  [sous partie 1] [pasque j’ai des contrôles à corriger et que je n’ai pas fini non plus le brevet blanc … je vais devoir (revoir) (refaire) faire (mon) un planning , zut !]

     

    Ben oui, je commence par l’épisode 2 ! … La faute aux lares.dons, qui croyaient connaître les aventures d’Œdipe, la faute aussi à une prêtresse de Clio, que j’ai heureusement démasquée comme appartenant aux forces obscures …

    Renos, sors de ce corps !!!

    L’épisode 1, ce sera Persée, au fait !


    Bon, j’ai pitié de vous, blogueurs (e.)gnares qui ne faites pas partie de cette classe, ou qui ignorez l’histoire d’Œdrhughes …


    Pour commencer, il ne s’appelait pas « Œdipe », nom qui signifie, je te le rappelle 
        [ça c’est pour respecter le vernis de culture qu’on ferait semblant de s’être posé sur les ongles entre deux siestes] :                  « pieds enflés ».








    Non.

     

     


    Son véritable nom était : Oedrhughes, du grec « rhugchos » : cheville, et « oidêma » : gonflement.

     

     

    D’où sa difficulté à retirer son pantalon, après un exploit … en particulier le soir où il arrosa sa victoire contre le sphinx à terre !


    Mais, restons ouvriers, afin de charpenter notre culture, cessons là de papillonner et revenons à nos chevilles, …

    [ Petite interruption … quelqu’un aurait-il la portée musicale de la chanson Phaway, dont je n’ai que la traduction phonétique en quechua, et qui exhorte un agneau à se cacher pour échapper au loup ? … Sinon, ma fille risque de perturber mon inspiration déjà bien malmenée en cette semaine de rentrée … Je remercie et je salue au passage l’inventivité des chevaliers du primaire, personnellement, j’en étais restée à La chèvre de monsieur Seguin, d’Alphonse Daudet !]

     

    Oedrhughes était né sous une mauvaise étoile.

    D’abord, il était grec, et ce fut [passé simple du verbe être, je le rappelle, et j'en ferai d'autres des rappels, pasque les lares.dons sont comme toi, blogueur, blogueuse, assez (e.)gnares !] en pleine période mythologique, quand les dieux s’amusaient avec les hommes et les utilisaient sans vergogne [ça veut dire « honte » … à toi !] pour régler leurs différends, avec un « d » … parce que, « alea jacta est » et que « conflits » est un des maux que tu as déjà dans ton vocabulaire …

    Je m’égare de Montparnasse  (pas celle d’Heraklès !)
    et je reviens à ma mythologie : rien à voir avec le site de rencontre,
    quoique …
     
    tu vas voir ce que tu vas voir, et puis, quand tu sauras ce que tu sauras,
    tu auras raison de penser ce que tu penses !

     

     

     

     

     

     Par :  une déesse sacrifiant aux dieux (e.)lares

     


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