• Il était une fois...
    un prince qui vivait dans l'Olympe des mots-tordus.
    Zeus et Zeus ne faisaient qu'Hun.
    Et plein de mots poussaient sous les sages-mots de la mêlée de son Chabal.
    A-t-il à celer un secret ?
    Ben ça, blogueur, blogueuse
    S,
    va le lui quémander toi-même.
    Il se fait appeler Almaterra.
    Ce que je peux te confier (En un mot, bien sûr...)
    c'est que je le surnomme le Prince de Motordu.
    Alors, en bonne déesse, quand je vais à l'Olympe,
    je joue à la Princesse Dezécolle...
    Ben si !




    *                   *

      *

    L'impossible dictorsion  consiste, je cite
    -quoique j'eusse aimé écrire "je troite", ça sonne bien aussi !-
    à
    malaxer une phrase à partir d'un vrai dicton, d'un proverbe ou d'une phrase ou expression connus de tous, en jouant d'"à peu-près", de double-sens, de référence, que sais-je encore, pour proposer un nouvel adage.


    Adage 13  : "Un seul être vous manque et tout est dépeuplé."


    Je suis passée,
    j'ai malaxé
    j'ai (beaucoup) fumé

    j'ai arrosé au perrier
    j'ai aromatisé
    (au coco... on est en vacances, nanmého !)
    j'ai levé le nez
    attablée à mon café préféré
    pour être inspirée
    et j'ai proposé :




    "Un seul hêtre vous manque et toute haie peut plier."
    Variante :
    "Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers."

    Galatée au harem d'un archi-maître...


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  • Il était une fois...
    un prince qui vivait dans l'Olympe des mots-tordus.
    Zeus et Zeus ne faisaient qu'Hun.
    Et plein de mots poussaient sous les sages-mots de la mêlée de son Chabal.
    A-t-il à celer un secret ?
    Ben ça, blogueur, blogueuseS,
    va le lui quémander toi-même.
    Il se fait appeler Almaterra.
    Ce que je peux te confier (En un mot, bien sûr...)
    c'est que je le surnomme le Prince de Motordu.
    Alors, en bonne déesse, quand je vais à l'Olympe,
    je joue à la Princesse Dezécolle...
    Ben si !




    *                   *

      *

    L'impossible dictorsion  consiste, je cite
    -quoique j'eusse aimé écrire "je troite", ça sonne bien aussi !-
    à malaxer une phrase à partir d'un vrai dicton, d'un proverbe ou d'une phrase ou expression connus de tous, en jouant d'"à peu-près", de double-sens, de référence, que sais-je encore, pour proposer un nouvel adage.


    Adage 13  : "Le bonheur, c'est simple comme un coup de fil."


    Je suis passée,
    j'ai malaxé
    j'ai (beaucoup) fumé

    j'ai arrosé au perrier
    j'ai aromatisé
    (au coco... on est en vacances, nanmého !)
    et j'ai proposé :




    "La bonne heure, c'est simple comme un coup de pile".

    Galatée au harem d'un archi-maître...


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