• C'est un trou de noirceur ...

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    Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues […qui rate son interview avec Nelson, c’est fort ! sous partie 7] [pasqu’Oedhrughes se balade toujours, en orbite de la lune de Cyrano’s dans l’impair espace, et que j’ai pas envie qu’il mutationne en Apollo, carina,  pasque si toi aussi tu m’abandooooonnes, comme disait Grace  à  Cooper, le mimi … ]

     



    Oedrhughes, après cette parenthèse du sort, bonne s’il en fût,

    mûr comme un raisin corinthien, repart dans le typhoonesque vide,

    mais garde son calme goldmanien, comme toi, ou moi, l’aurions fait en ces jupitériennes circonstances.

    Et le navet va, fellinien destin… tin !

    Encore faudrait-il qu’il atterrît. C’ qu’/il fit.

     

    Fi ! Point d’acier, 

    il s’écrase donc comme du moût mat et,

     malgré quelques cases en moins, dame,

    car cet intermède ne fut pas un échec,

    arrive pile devant le poêle où son vieux, sag y terrien de

    maître à panser,

    Iodascopos, pour ne pas le nommer,

    [Hein, Simone ? … mais non j’ l’ai pas dit ! Lux, sors de ta fiat !]

    se réchauffe,

    car ses vieux os, (très), y collent … (hi !) lare, au chaud, oui,

    il PANSE.

     

     

    Ben oui ! Il panse, pis, l’essuie !

     



    Si tu t’imagines

    qu’on peut aller voyager nu,

    faire ailleurs un duel,

    vriller,

    saleter,

    périllonner,

    exécuter un triple salchow,

     [comme disait Nico’s]

    un double axel,

    et un quadruple flipper avec Delphine de Champagne,

    pis revenir indemne de l’impair espace …



    là,


     
    blogueur, blogueuseS,

    je m’inquiète

     pour

     les futurs pères spationautes

    au cas où t’envisagerais une carrière dans les MINES

    en Tauride avec Ariane,
    [Au fait, Dieu Toonos, tu m’oublies pas, hein ?]

    Crains leur courroux !

     

     

    tout ça


    en restant beau et propre, monsieur comme l’autre couillon bodybuildé vert
    qui préside aux destinées des ménagères
    du bagne de moins de Saint Quentin !!! 

    Et si tu connais pas ce bagne,

    va t’(é)toiler en filant

    voir Papillon

    dans la galaxie de Pathe’s,

    avec l’excellent Dustin [Vi, son prénom c’est Dust, hein ? … C’est juste ?].

    Alors tu comprendras ce qu’est ma vie de déesse :

    c’est pas du C.O.C.O.N !

    [... comme me disait une nymphe qu’avait pas de monnaie, l’autre jour à Cazino’s.]



     

    Faudrait pas confondre spéléologie

    [À cause des mines… je te l’ai écrit en gros, gras et gris, ggrrrr … ris !]

    et
    j’ (é)pèle au logis,
    nanmého !

     


     

    Et ne perds pas le fil de mon baratinage artistique, bordel !

    Pasque Nelson, son, son, [sors de ce corps, Jean-Jacques !]

    quand, dès lors, ô surgit … tsss tsss !

    En direct, je te livre l’interviouve esssclusive qui

    s’en [queue ni tête] suivit :

     

     

    - Nelson, il  brette, comme Sinclair, presque aussi bien que moi dans D’Artagnan ! Huge ! Wilde ! Et les petits pas, z’avez-vu ces petits pas ? Dignes du balai de Marius ! Nous verrons si les dieux s’appellent Clément.

     

    - Raaahhh, Philippe, vos commentaires à terre me couchent ! Mais je le vois qui arrive, pâle dans sans son slip vert où la lune hier fut.
     
    Pardon, messieurs les brancardiers ... Well, in direct live, I’m here
    with the young Oedrhughes, bouche ouverte, ptêt nu,
    me semble-t-il, who’s comin’ from Galate’s to steroïd space.
    How d’you feel, honey ?Mou, non ? ...
    Philippe, les parfums ne font pas frissonner sa narine !
    Oedrhughes, did you see the moon ? This was a very, very very nice performance :
    this ice in the sky tonight !
    Son ! Beautiful project ! …
    Par les pieds de mes aïeules, il dort !
    Oedrhughes, can you hear me ?
    Rin ! L’entend rin ce stronzo, rin ! Boh ! Bah !



    -  Nelson, je vous cut … Ça va !  La régie, na, m’annonce que cette retransmission patinant allègrement dans la glace Bertillonnaise, nous avons perdu notre unique téléspectateur, un cyclope amputé qui s’est malencontreusement éborgné avec le crochet qui lui tient de main alors qu’il essuyait les larmes d’émotion que vous fîtes naître par vos poétisantes descriptions inspirées par la colline du même nom.
    Ze  poisse is wih us ! Don’t panic, anyway ! We shall over com’, … / someday !

     

     

      brrrcrrrkkkzzzzzkrrrbrbrbrb – bîp - brrrcrrrkkkzzzzzkrrrbrbrbrb

                        

     




                                                                  Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares

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