• Chats-pitres 5    

     

    Barock : Subjonctif ! Imparfait, encore eût-il fallu que je le décryptasse.
    Schanock : À café ! Encore eût-il fallu que tu le busses.
    Barock : Ou tramway, ! Encore eût-il fallu que je le prisse.
    Schanock : Meuh ! Encore eut-il fallu que la vache réfléchît.
    Barock : Cane ! Encore eût-il fallu que j’y allasse.
    Schanock : Scala ! Encore eût-il fallu que tu vocalisasses.
    Barock : À Sein ! Encore eût-il fallu que j’y vinsse.
    Schanock : Si ! Encore eût-il fallu que tu la peignisses.
    Barock : Tttt ! War ! Encore eût-il fallu que je l’imparfisse !

                                  

     

    Par : une déesse qui aimerait qu'on ne lui reprochât point de rediffuser...  

     


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    Chats-pitres 4



     

     

    Barock       : La molécule est une particule qui ne peut être cassée sans perdre son identité.


    Schanock   : Elémentaire, quoi ! C’est pénétrant.


    Barock       : En 1807, Berzelius, qui inventa les symboles chimiques, appela « organiques » les substances combustibles, car dérivées directement ou indirectement des organismes vivants.


    Schanock   : Jouissif, ton truc !


    Barock       : Les hydrocarbures sont des molécules exclusivement composées d’hydrogène et de carbone.


    Schanock   : "car-bone" ?...  Bonne !


    Barock       : Les alcanes sont des hydrocarbures saturés car leurs atomes ne sont attachés que par des liaisons simples, ce qui entraîne un nombre maximal d’atomes d’hydrogène. D’où leur nom de « saturés » !


    Schanock   : Les « saturés »... Ça ttttuerait ?


    Barock       : En 1831, Justus Von Liebig appliqua l’analyse chimique aux composés organiques. Ainsi naissait la chimie organique.


    Schanock   : Von Liebig ?  Chuis dans le potage, là !


    Barock       : Les recherches combinées des deux scientifiques aboutirent à la découverte que certains composés ayant en commun les mêmes éléments en proportions identiques, comme l’alcool éthylique et l’éther diméthylique par exemple, pouvaient avoir des propriétés différentes. Ils les appelèrent « polymères ».


    Schanock   : "Polymères" ? Et leueueueurs soeuururs ?

     

     

    Barock       : La famille des alcanes, pour revenir aux hydrocarbures, a pour formule brute : CnH2n+2. Quand on veut obtenir la formule brute d’un alcool à partir d’un alcane, on remplace le H, par OH, soit un atome d’oxygène.


    Schanock   : "Oxygène " ? Vi !... ze respire … un grand coup !


    Barock       : Vers 1850, le Français Pierre Eugène Marcelin Berthelot prépara, en laboratoire, de nombreux composés organiques simples à partir de composés encore plus simples, comme l’oxyde de carbone, CO. Puis, il accrut cette complexité jusqu’à atteindre l’alcool éthylique. Synthétique, bien sûr, mais absolument indiscernable du produit naturel.


    Schanock   : "Berthelot" ?... Berthe ! À bwwwaaaaarr !


    Barock       : M’enfin, qu’est-ce qui te prend ?


    Schanock   : Ben twa, bendant g’du … gomangondidézà ? …..scindes bêtises, euh, syndédises…… mwa …….gex berry mantes !
    Barock       : !!! ………………………… Oui, tu hydrocarbures ... à l’oxygène, quoi !

     



     

                    

    Photo Galatée Lumix

     

     

     

    Par : une déesse, confuse, mais pas trop, qui continue de rediffuser... ;-)

     

     


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    Chats-pitres guatre ... bbiz 

     


     

     

     

    Shanock : Acheter une dinde d'environ 5 kilos et une bouteille de whisky,

    prévoir du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard.
    Barder la dinde de lard, la saler, poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive. 

    Préchauffer le four thermostat 7 pendant 10 minutes.
    Se verser un verre de whisky, le boire.


    Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.
    Se verser deux verres de whisky, les boire.


    Après une demi heure, l'oubrir et surveiller la buisson de la dinde.
    Brendre la vouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade.



    Encore une debi beurre blus dard, dituber jusqu'au bour. Oubrir la borte, 

    rebourner, revourner, m’enfin ! … bref, mettre la guinde dans l'aud’ sens.
    S'azeoir sur une butain de chaise et ze reverrezir cinq ou zis verres de whisky.




    Buire, nan ! … luire, nan ! … güire la bringue bandant gatre heures.
    Et zyouplplà … zing berres de bluz !



    Revirer le four de la binde.
    Z’ rebercer une bonne goulée de bisky.
    Rabasser la binde (l'est dombée bar terre, bordel ! ). 




    L'ettuyer et la voutre sur un blat … un clat … un drap … sur une aziette !
    Se béter la figure à gause du gras sur le barrelage de la buisine. 





    De ZURDOUT bas essayer de ze révéler … rebeller ... rmètdebout


         ... Dézider g'on est bien bar derre et binir la mouteille de rhisky.



              ... Blus dard, bien plus dard, hein ! 




                  … ramber jusgu'au lit et dorbir ze gui rezte de la nuit.




    Le lendemain après midi, déjeuner d'un cocktail d'Yaka Falépalfer additionné d’une bonne dose d'acétylsalicylique, C9H8O4

    puis,
    nettoyer le bordel dans la cuisine et o
    ffrir la dinde brûlée à Galatée
    … parce qu’elle le vaut bien !

     

     

     

    Bar : Une déesse gui gondinue de rediffuser, bais doujours bas confuse... guoigue...

     

     


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    Chats-pitres 5

    Chats bottés

    Spécial "Enfants" et "Desprogiens"


     
      

    Schanock       : « Imper noue ailes » :  Protection pour les enfants terribles et qui leur donne un air d'ange pour sillonner les constellations de fin d'années. 

     

    Barock       : « Jappe rond rouge » : Chien loup qui aboie sur un communiste beurré comme un petit pot.

     

    Schanock   : « Barbe (Q) bleue » : Maréchaussée en tenue qui se prépare à griller ceux qui ne voient rien venir.

     

    Barock       : « Petite scie reine » : Refrain musical chanté par la suivante et fredonné par Elizabeth Q. dans son royal bain.   

       

    Schanock   : « Mère l'Hun l'an chanteur » : tube de la Génitrice d'Attlila, complètement marteau, souvent passé à la radio le 31 décembre et très apprécié d'Élizabeth Q. 

     

    Barock       : « Sand rillons » : Enfants naturels de George et d’un inconnu manceau grimé.

     

    Schanock   : « La pelle au pois d'or ment » :   Accessoire trompeur pour princesses alitées.

     

    Barock       : « La pelle hélàs pète » : Ben si, comme tout le monde...  

     

     

    Almaterra  : Dites, vous avez pas fini de copier tout ce que je fais ?

     

    Schanock   : Ben, comme tu as dit à Victor : « C’est çui qui l’dit qui y est ! »

     

    Desproges  : [ Il flanque aux chats un magistral coup de pied au(x) cul(s).] 

      Peut-on appeler "écrire" n'importe quelle tentative de représentation d'une ébauche de pensée par le biais de symboles graphiques incohérents couchés dans le désordre au mépris de l'orthographe et du souvenir de mon aïeule Germaine Philippin, institutrice de l'époque missionnaire, qu'une cédille oubliée décourageait aux larmes ?


    Barock       :    [hoquet]

    Schanock   :  …  on sort !

    Barock       :  ...  Nets !


     

    cartoons0003.gif

     



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    Hasard du calendrier ?

    Cette rediff' était prévue depuis longtemps,

    mais elle résonnera plus particulièrement

    si on va voir là, chez B[LUDO]G

    http://bludog.over-blog.com/article-la-cuisine-pour-les-gens-presses-et-faineants-15-121543441.html

     


                             Chats-pitres 3



     

    Schanock : Tu connais Yves Paccalet ?

     

    Barock :     Vi, L’humanité disparaîtra, bon débarras ! * un compagnon du commandant Cousteau, écologiste et naturaliste...

    Passe-moi la farine s’il te plaît.

    Merci.

    Critique ces humains qui ne cherchent pas à résoudre les problèmes de leur planète … Le beurre ?

     

    Schanock : Tiens, le voilà...

    Ecoute donc ! «Nous produisons des enfants, beaucoup trop d’enfants ! Nous remplissons la planète de notre engeance. Nous tartinons le globe d’une couche de bambins, marmots, gosses, gamins ou mouflets, désormais si nombreux qu’une armée d’ogres n’en viendrait pas à bout.


    Dis, ton four n’est pas un peu trop chaud là ? Bon, je baisse un peu. Là !


    Allez je reprends ma lecture, ça vaut son pesant de cacahuètes ! Dans sa Modeste proposition …, Jonathan Swift suggérait qu’on mangeât les nouveau-nés pour résoudre le problème de la faim en Irlande. Toute la terre est devenue l’Irlande et il n’y a plus d’Amérique où émigrer. Nous devrons dévorer nos bébés. En pâtés ou à la broche. À l’étouffée ou en grillades. En pot-au-feu ou en ragoût. Car les enfants grandissent, hélas ! »


    Dis tu m’écoutes, mais qu’est-ce que tu fabriques, à la fin ? 


    Barock :     Ben, je prépare une quiche aux lardons pour Galatée !

     

     


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      * Aux éditions Arthaud, 2006 

     

     

     

     

    Par : une déesse qui appelle ses enfants ses lares.dons, c'est-à-dire, les dons du foyer (les dieux (hi!)lares, quoi !)

     

     

    Post scriptum, pasque les lares.dons sont pleins de ressources, la preuve :

     

     

     

                                               

     

     


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