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Par Galatée4reveur le 11 Décembre 2013 à 00:10
Chats-pitres 2
Barock : Tu sais, Schanock, il y a une phrase de Gustave Flaubert que j’aime beaucoup. Elle est dans l’incipit de Un cœur simple .
Schanock : …
Barock : « Et ce silence épandu augmentait la tranquillité des choses. »
Schanock : ...
Barock : ...
Schanock : ...
Barock : ... Tu fertilises ?
par : une déesse qui rend hommage à Déméter...
19 commentaires -
Par Galatée4reveur le 4 Décembre 2013 à 00:10
Barock et Schanock sont deux Chats.
Deux Chats pas tout à fait communs, cependant.
Ils gravitent dans l'impair-espace et observent
de leur oeil curieux et opalin,
félin [l'autre aussi, remarque !] fanal,
le grand royaume de Motordu.
Si l'un est Pitaine, l'autre est Mot,
alors, même s'ils bossent, ils rament aussi, parfois,commentent et ont
maille à partir, souvent.
D'où quelques régalades de chats-Ma'lowe, comme on dit en Ma'tinique,
ma’lous, itou.
Ces chats-marrés te cha-luent bien, chat-rdinier,
Puisses-tu aimer leurs chats-lades [eh, pas rétros, chat-anas !]Chats-rcastiques, un jour, chats-ritables toujours,
Même si le temps se gâte, ils te promettent de te garder à l’œil :
Ils savent qu’il n’y aura pas de chats-loupés !
Chats-pitres I
Barock : C’est en s'mouillant qu’on va au charbon.
Schanock : C’est en souillant qu’on entend Cendrillon.
Barock : C’est en grillant qu’on attrape un P.V..
Schanock : C’est en milan, je m’en irai, comme on dit en breton.
Barock : C’est en bouquinant qu’on vient au mirliton.
Schanock : C’est en plissant qu’on devient polisson.
Barock : ???
Schanock : Scuse !
« C’est en polissant qu’on devient polisson. »
… Ce fut en glissant, que je fis un lapsus, hon ! (t’à moi !) ;-)
************
Essai de ponction paradigmatique
Paragraphant, je paraphrasePoétisant, je paramètre,
Maître,
Im-pardon-nable, je suis
Sourde à tes paradoxes,
D’où ma para ... synthèse !
Moralité :
Même avec un parachute,
Je ne suis pas sûre d’avoir le dernier mot,
Pour l’heure, c’est pour vous que j’écris,
Mon impôt sera lourd :
Me faut régler ma parataxe !
par : une déesse qui rediffuse...
18 commentaires -
Par Galatée4reveur le 4 Septembre 2013 à 00:11
Chats-pitres 2 bisBarock : ...
Schanock : …
Barock : …
Schanock : ...
Galatée : ???
Barock : Ben si ...
Schanock: ... on commente ton blog !!!
3 commentaires -
Par Galatée4reveur le 16 Mars 2011 à 06:10
Chats-pitres 6
Barock : Crois-tu que les vents, les nuages, le soleil ou la lune pourront me dire mon avenir ?
Schanock : Tu aéromances, descends sur terre !
Barock : Crois-tu que les cailloux que je jette me diront le chemin que je dois suivre ?
Schanock : Tu géomances, un peu de mesure ! Ne prends pas tout au pied de la lettre !
Barock : Crois-tu que cette page qui s’est ouverte au hasard de ma lecture me dira qui je suis ?
Schanock : Tu bibliomances, ouvre les yeux !
Barock : Crois-tu que cette lumière éclairera ma lanterne ?
Schanock : Tu lampadomances, ne monte pas sur tes grands chevaux !
Barock : Crois-tu que je pourrai glisser mes pas dans les empreintes d'un cheval lancé au galop ?
Schanock : Tu hippomances, reviens parmi nous !
Barock : Crois-tu qu’une main viendra flatter mon rêve de câlins ?
Schanock : Tu chiromances, tu n’as pas toutes les clés …
Barock : Mais j’ai une âme, et je n’ai pas lu tous les livres …
Photo Galatée, appareil Lumix
Par : une déesse qui s'est penchée sur les techniques de divination...
alors qu'elle adore l'idée que l'avenir lui réserve des surprises !
12 commentaires -
Par Galatée4reveur le 4 Septembre 2009 à 00:10
Chats-pitres 15
Barock : Tu te rends compte : pendant la Préhistoire, les hommes n’avaient aucune idée du nombre ! C’est avec la civilisation que les méthodes de calcul se sont développées. On commença à compter avec ses doigts, puis le système se perfectionna avec des cailloux, des nœuds à ficelles ou des entailles à des bâtons. C’est le nom de calculus , caillou en latin, qui est à l’origine du mot « calcul ». En revanche, c’est de l’arabe sifr , qui signifie « zéro », ou « le vide »que dériveront notre « chiffre », l’allemand ziffer , l’anglais cipher , le cifra des Espagnols et des Portugais.Schanock : Passionnant !!
Barock : Oh, toi, sorti de ta télévision ! N’empêche ! On méconnaît cette bataille passionnante, justement, entre les « Abacistes » (tenant de la méthode romaine et de chiffres arabes) et les « Algoristes » (les partisans du calcul écrit avec des chiffres arabes). L’Église s’en était même mêlée, inquiète d’assister à la naissance d’un développement dangereux de la science et de la philosophie, qui conduirait à la perte de son monopole de l’enseignement. Pour contourner son veto, les gens utilisèrent en cachette les chiffres arabes, système dont le zéro était à la base et qui devint un code. Ce code était appelé « chiffre »… Un des premiers codes secrets ! Ça vaut bien un film, non ?
Schanock : Bon… si tu veux !
Barock : Le mot « chiffre » désignait alors soit un « signe de numération », soit « le rien », « le vide », "le néant" en référence au fameux chiffre « 0 ». C’est alors que l’on attribua à cette dernière définition le nom de l’italien zéro, pour éviter toute confusion. Dis, tu m’écoutes ???
Schanock : Bon, c’est la pub, alors… Mais oui, je t’écoute ! Je peux même rebondir, en bon chat-mots que je suis ! Tu sais que nous avons sept vies… eh bien, le chiffre 7 est un nombre premier super-singulier, pour les Mathématiciens. L’origine de son nom évoque le septième jour de la semaine, le samedi, selon la Bible. On lui propose deux étymons, qui évoquent ce septième jour : l’arabe « sebt », ou l’hébreu « shabat »... Ouah ! Elle est chouette la nouvelle pub des bébés qui planchent à roulettes !
Barock : Au fait ! Au sept !
Schanock : Et puis, 7, c’est un nombre dont la mystique est très positive. Il y a les 7 Sages de la Bible, les 7 piliers de la sagesse, les 7 branches du chandelier d’or, les 7 merveilles du monde, les 7 collines de Rome… Pour les kabbalistes, le 7 avait la vertu d’invoquer les génies et de les contraindre à opérer des prodiges. Mais la plupart vient de la Bible : Dieu a créé le monde en 7 jours, les 7 sacrements, les 7 péchés capitaux, la danse des 7 voiles…
Barock : Oui, mais… et les dix commandements ?
Schanock : Ben si !
Quand Moïse eut gravi le Mont Sinaï, et que les dix commandements lui furent dictés, il en fit la lecture au peuple hébreu. Quand il arriva au septième « Point ne convoiteras la femme de ton voisin », le peuple se mit à hurler : « Barre le sept ! Barre le sept ! »… ce qui explique pourquoi on peut ajouter une barre horizontale au gryphe original et résout le mystère de la double graphie du sept. CQFD !
Barock : … !!! …
Ta pub, elle est finie… apostat !
Schanock : Vi… je vais enfin pouvoir regarder la fin de mon film !
Barock : Tu regardes quoi ?
Pastel, Galatée
Schanock : Les aventures kabbalistes de Néant, Néant, Premier Super-singulier !
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