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Par Galatée4reveur le 19 Mai 2010 à 10:40
[ Rediffusion du 26. 04. 08]
Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhughes [sous partie 2] [pasque j’ai des machines à laver à mettre en route, et que je n’ai toujours pas fini non plus le brevet blanc … ah ! les lares, j’vous jure !]
Nous avons laissé Œdrhughes vagissant sous sa mauvaise étoile ...
Ce n’est pas tant que sa mère était une peau de vache, Yo ! Non !
C’est qu’elle aussi avait de gros ennuis …Ben voui, les ennuis grecs, c’est comme les restaus de la Huchette,
c’est souvent que ça se refile de pères en fils, de mères en filles, de tantes en neveux, d’oncles en nièces … et caetera.
Mais on ne va pas trop les plaindre, vu qu’ils ont déjà le tarama, les oliviers, l’huile qui va avec, le soleil, l’aurige de Delphes, la mer, la Venus de Milo et la victoire de Samothrace … Ah, non, c’est vrai, ils l’ont plus, le Louvre les leur a piquéS ! [COD « les » antéposé, masculin pluriel, auxiliaire « avoir » = accord. Rappel bienvenu au vu des résultats des dernières olympiades !] . Cependant, quand on voit comment elles sont abîméES, [Là, c’est l’auxiliaire « être », donc l’accord se fait avec le sujet .] ces statues, on se dit qu’il faudait peut-être demander à voir le directeur … (« On l’aura ! », comme ils disent à la Naaf ! ... vi, je pouffe, là !).Jocaste,
c’est la mère d’Oedrhughes,
avait fait un beau mariage, sache-le blogueur, blogueuse,
elle avait mis la main sur Laïospeugeos, dont le royaume était pétaradant de chars, qui sillonnaient tout le territoire.
Evidemment, à la naissance de son fils, comme tout Grec masochiste qui se respecte et qui veut connaître la liste des malheurs qui vont s’abattre sur lui, histoire d’être encore plus malheureux que s’il était resté dans l’ignorance
(Sont fous, ces Grecs !),
Laïospeugeos se rend à Delphes, dans la roulotte enfumée de la Pythie.
Roooohhh, la Pythie !
Drôlement forte celle-là : elle te dévoile ton avenir sans tarots, sans marc (Venise n’existait pas) de café (il n’y avait pas de bistrots non plus, mais des galères, si !), sans que tu aies à lui montrer tes mains pas lavées : bref, une vraie perle de voyante extra lucide !Et là : catastrof !!! (nan, pas celle de Tintin, l’éclairage était correct, puisqu’elle était lucide) Le pauvre Laïospeugeos apprend
que son fils tuera son père (c’est lui)
et épousera sa mère (c’est elle).
Et qui c’est qui rigole ? C’est nous !Donc, Laïospeugeos, qui n’a toujours pas compris, ce crétin, que de toute façon, la prophétie se réaliserait, quoiqu’il fît [subjonctif imparfait, il faut faire la concordance des temps dans un récit au passé : on ne l’a pas encore revu avec les lares.dons de la troisième étoile, faut toujours que je mâche le boulot !], cherche un moyen de renvoyer ce lardon à sa côte de porc première, car il frise l’apoplexie.
Comme il a bien écouté sa nounou quand il était petit,
il se rappelle Blanche-neige, et, vas-y mon coco, il va trouver un vieux soldat : « Caramba ! Débarrasse-moi de ce paquet, et vite fait, sinon, tu finiras enchaîné dans mes fabriques de chars ! »,
et, paf,
il lui colle le couffin dans les bras !
Seulement, le soldat, qui est capitaine et qui ne veut pas être dégradé, a eu,
ô hasard, Balthazar !,
la même tata que son roi, et, lui aussi, il a lu Blanche-Neige.
C’est pourquoi [On exprime ici un lien logique de cause à conséquence … ça non plus, on ne l’a pas encore revu, va falloir remanier mes vinaigrettes aux petits oignons … le pied !] il abandonne le pôv’ mouflet dans la forêt.
Note à l’intention des lares.dons des zôtres : copier, c’est coller,
vous voyez, vous n’avez rien inventé !!!
Or, dans la forêt se promenait Phorbas
(dont le desendant, Forban, devint barde et disco-bol avec son tube, ah !, tu te rappelles : "Danse, danse, danse, et mets tes cnémides …" ?
Unforgettable, comme disait Natalie Cole, fille de roi, elle aussi.
Phorbas n’était pas nain,
et il n’était pas sept, ce n’était pas un mercenaire non plus,
mais il avait bon cœur
(de rho cœur …nan, j’ai pas honte de mes jeux de mots laids, puisqu’on cause « cnémides » … rho, c’est la lettre « R » de l’alphabet grec, j’ai pitié de ton vernis !) et, faisant foin de toutes ces salades, il recueille le lardon !
(A suivre … on n'apprend pas au vieux linge à faire des limaces, mes chemises sont toujours pas lavées, et puis j’ai promis, décidément, qu’est-ce que je promets en ce moment, de mettre en ligne ce clipos pour les lares.dons, parce qu’un chevalier, très cavalier par ailleurs, a eu la galanterie de me rappeler qu'à cause de la différence d'âge … pffffffffff !)
Post Scriptum : [Là, c'est du latin, crétin !] Forban le barde avait une prédilection pour les Statunix, c'est pourquoi vous ne verrez pas de chars de Laïospeugeos ...
Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares
10 commentaires -
Par Galatée4reveur le 13 Mai 2010 à 11:57
[ rediffusion du 25 04 2008]
Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues [sous partie 1] [pasque j’ai des contrôles à corriger et que je n’ai pas fini non plus le brevet blanc … je vais devoir (revoir) (refaire) faire (mon) un planning , zut !]
Ben oui, je commence par l’épisode 2 ! … La faute aux lares.dons, qui croyaient connaître les aventures d’Œdipe, la faute aussi à une prêtresse de Clio, que j’ai heureusement démasquée comme appartenant aux forces obscures …
Renos, sors de ce corps !!!
L’épisode 1, ce sera Persée, au fait !
Bon, j’ai pitié de vous, blogueurs (e.)gnares qui ne faites pas partie de cette classe, ou qui ignorez l’histoire d’Œdrhughes …
Pour commencer, il ne s’appelait pas « Œdipe », nom qui signifie, je te le rappelle
[ça c’est pour respecter le vernis de culture qu’on ferait semblant de s’être posé sur les ongles entre deux siestes] : « pieds enflés ».
Non.
Son véritable nom était : Oedrhughes, du grec « rhugchos » : cheville, et « oidêma » : gonflement.D’où sa difficulté à retirer son pantalon, après un exploit … en particulier le soir où il arrosa sa victoire contre le sphinx à terre !
Mais, restons ouvriers, afin de charpenter notre culture, cessons là de papillonner et revenons à nos chevilles, …[ Petite interruption … quelqu’un aurait-il la portée musicale de la chanson Phaway, dont je n’ai que la traduction phonétique en quechua, et qui exhorte un agneau à se cacher pour échapper au loup ? … Sinon, ma fille risque de perturber mon inspiration déjà bien malmenée en cette semaine de rentrée … Je remercie et je salue au passage l’inventivité des chevaliers du primaire, personnellement, j’en étais restée à La chèvre de monsieur Seguin, d’Alphonse Daudet !]
Oedrhughes était né sous une mauvaise étoile.
D’abord, il était grec, et ce fut [passé simple du verbe être, je le rappelle, et j'en ferai d'autres des rappels, pasque les lares.dons sont comme toi, blogueur, blogueuse, assez (e.)gnares !] en pleine période mythologique, quand les dieux s’amusaient avec les hommes et les utilisaient sans vergogne [ça veut dire « honte » … à toi !] pour régler leurs différends, avec un « d » … parce que, « alea jacta est » et que « conflits » est un des maux que tu as déjà dans ton vocabulaire …
Je m’égare de Montparnasse (pas celle d’Heraklès !)
et je reviens à ma mythologie : rien à voir avec le site de rencontre,
quoique …
tu vas voir ce que tu vas voir, et puis, quand tu sauras ce que tu sauras,
tu auras raison de penser ce que tu penses !Par : une déesse sacrifiant aux dieux (e.)lares
4 commentaires -
Par Galatée4reveur le 14 Mai 2008 à 17:50
Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues […qui rate son interview avec Nelson, c’est fort ! sous partie 7] [pasqu’Oedhrughes se balade toujours, en orbite de la lune de Cyrano’s dans l’impair espace, et que j’ai pas envie qu’il mutationne en Apollo, carina, pasque si toi aussi tu m’abandooooonnes, comme disait Grace à Cooper, le mimi … ]
Oedrhughes, après cette parenthèse du sort, bonne s’il en fût,mûr comme un raisin corinthien, repart dans le typhoonesque vide,
mais garde son calme goldmanien, comme toi, ou moi, l’aurions fait en ces jupitériennes circonstances.
Et le navet va, fellinien destin… tin !
Encore faudrait-il qu’il atterrît. C’ qu’/il fit.
Fi ! Point d’acier,
il s’écrase donc comme du moût mat et,
malgré quelques cases en moins, dame,
car cet intermède ne fut pas un échec,
arrive pile devant le poêle où son vieux, sag y terrien de
maître à panser,
Iodascopos, pour ne pas le nommer,
[Hein, Simone ? … mais non j’ l’ai pas dit ! Lux, sors de ta fiat !]
se réchauffe,
car ses vieux os, (très), y collent … (hi !) lare, au chaud, oui,
il PANSE.
Ben oui ! Il panse, pis, l’essuie ! …
…
Si tu t’imaginesqu’on peut aller voyager nu,
faire ailleurs un duel,
vriller,
saleter,
périllonner,
exécuter un triple salchow,
[comme disait Nico’s]
un double axel,
et un quadruple flipper avec Delphine de Champagne,
pis revenir indemne de l’impair espace …
là,
blogueur, blogueuseS,je m’inquiète
pour
les futurs pères spationautesau cas où t’envisagerais une carrière dans les MINES
en Tauride avec Ariane,
[Au fait, Dieu Toonos, tu m’oublies pas, hein ?]Crains leur courroux !
tout ça
en restant beau et propre, monsieur comme l’autre couillon bodybuildé vert
qui préside aux destinées des ménagères
du bagne de moins de Saint Quentin !!!Et si tu connais pas ce bagne,
va t’(é)toiler en filant
voir Papillon
dans la galaxie de Pathe’s,
avec l’excellent Dustin [Vi, son prénom c’est Dust, hein ? … C’est juste ?].
Alors tu comprendras ce qu’est ma vie de déesse :
c’est pas du C.O.C.O.N !
[... comme me disait une nymphe qu’avait pas de monnaie, l’autre jour à Cazino’s.]
Faudrait pas confondre spéléologie
[À cause des mines… je te l’ai écrit en gros, gras et gris, ggrrrr … ris !]
et
j’ (é)pèle au logis,
nanmého !
…Et ne perds pas le fil de mon baratinage artistique, bordel !
Pasque Nelson, son, son, [sors de ce corps, Jean-Jacques !]
quand, dès lors, ô surgit … tsss tsss !
En direct, je te livre l’interviouve esssclusive qui
s’en [queue ni tête] suivit :
- Nelson, il brette, comme Sinclair, presque aussi bien que moi dans D’Artagnan ! Huge ! Wilde ! Et les petits pas, z’avez-vu ces petits pas ? Dignes du balai de Marius ! Nous verrons si les dieux s’appellent Clément.
- Raaahhh, Philippe, vos commentaires à terre me couchent ! Mais je le vois qui arrive, pâle dans sans son slip vert où la lune hier fut.
Pardon, messieurs les brancardiers ... Well, in direct live, I’m here
with the young Oedrhughes, bouche ouverte, ptêt nu,
me semble-t-il, who’s comin’ from Galate’s to steroïd space.
How d’you feel, honey ?Mou, non ? ...
Philippe, les parfums ne font pas frissonner sa narine !
Oedrhughes, did you see the moon ? This was a very, very very nice performance :
this ice in the sky tonight ! Son ! Beautiful project ! …
Par les pieds de mes aïeules, il dort !
Oedrhughes, can you hear me ?
Rin ! L’entend rin ce stronzo, rin ! Boh ! Bah !
- Nelson, je vous cut … Ça va ! La régie, na, m’annonce que cette retransmission patinant allègrement dans la glace Bertillonnaise, nous avons perdu notre unique téléspectateur, un cyclope amputé qui s’est malencontreusement éborgné avec le crochet qui lui tient de main alors qu’il essuyait les larmes d’émotion que vous fîtes naître par vos poétisantes descriptions inspirées par la colline du même nom. Ze poisse is wih us ! Don’t panic, anyway ! We shall over com’, … / someday !
brrrcrrrkkkzzzzzkrrrbrbrbrb – bîp - brrrcrrrkkkzzzzzkrrrbrbrbrb
Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares
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Par Galatée4reveur le 4 Mai 2008 à 19:20
Mythologic wars ... Episode 2 : Oedrhughes [tirade d'Enée sous partie 6] [pasqu'hier j'ai pas pu poster, à cause d'interférences intergalacticiennes orangesques. Rouge d'énervement et pénétrée d'une noire colère, je me sentis réincarnée en roman stendhalien éponyme ! Mais c'est pas grave, on va juste modifier mon profil et proposer en tag, pour vous, gens bons : "La chanteuse de Parme", sous l'égide du dieu Zéros Ramas d'sottises.]
CHORAL :(… vaut mieux, ça garde les n(e.) longs blancs.)
[Cherche pas à comprendre, sauf si t’es présoixantehuit.tare, si c’est le cas, ça devrait te mettre la pub à l’oreille. Par contre, pour les parenthèses, tu sauras, désormais, blogueur, blogueuseS (e.)gnares, que ça s’appelle une didascalie, soit une indication scénique à l’intention du scénographe suicidaire et névrosé qui aurait l’idée de mettre en scène ce monologue consternant d’aniaiseries apéritives r(e.)cardesques . mais pas p(e.)caresque, faudrait pas boire à confondre… ]
Ô, jeune Oedrhughes ! Pioche dans son imagination, interpelle l’Abbé de l’épée, convoque le pastis, cinquante et un [enfin, peut-être que ça suffira vingt …] dieux, tes pairs, et passe à la tirade d’Enée ! Alors ne te débine pas, on est à la bourre, là ! [nan, la Reine, c’est pas encore, faut d’abord qu’il envoie son père ad patres … M’enfin ! blogueur, blogueuseS, un peu de patience, contrôle ta libido !!! …. mais pas trop, quand même, pasque le pastiche sans Ô, ça ne serait plus une (e.)stware !]
OEDRHUGHES :
(WHITE un jour, white toujours [bon sang, ce que je peux être spirituelle, ja vais l’dire à ma mère, tiens, elle sera fière de mon humour décapant !], voilà-t-y pas qu’il barrit,
mettant tout son chœur dans son organe [ou le contraire …])
C’est tout ?
[L’Abbé bêle, vi, car c’est un marginal !]
On pouvait dire, odieux, bien plus original !
En variant l’pathos, prends mon exemple, tiens :
Flingueur : « Jm’en vas t’éparpiller façon puzzle
Foi d’Abbé, Oedrhughes, jaunis, t’vas voir ta gueule ! »
Mâlement prétentieux : « L’Abbé d’ la Pampers s’tut,
Mais tu commences à m’les briser menu, menu ! »
Descriptif : « C’est Laroque, que dis-je ? C’est Foucaud !
Non, cher Oedrhugues, je n’ai pas dit mon dernier mot ! »
Tendre et pratique : « Oedrhugues, mon cœur, si ton nez pique,
Prends ton carreau, va te moucher ailleurs ! Logique ? »
Pontif(e.)cal : « Vade ! Argh ! Chie et pisse copeaux !
Mus’hical : « Ça barde ! J’vais t’souffler dans l’pipeau ! »
Pompier, pon œil, de bœuf : « Tel Charon, gnard morveux,
Retourne aux urnes, va t’occuper des potes au feu ! »
Racinien : « Qui sont ses serpents qui ci, sisifflent ?
Raaaah ! Trois fois ! Ris, gogol, tu vas voir ta mornifle ! »
Corniausien : « T’as voulu m’ fout’ dans l’ bain, manqu’ de bol,
Mon tit phoque j’suis Grec, et je sais nager, lol ! »
[Vi, j’ai honte, rassure-toi, là, mon matelot, @rime-toi quand même et mets ta fortitude à l’épreuve des over lords de ma blogosphère !]
Evangel’hic : « Ton nez m’ mettra pas l’ doigt dans l’œil
Par la Sainte Amora, ou j’te chauff’rai les feuilles ! »
J’expie rien : « Ô suaire, ô déesse poire ! Ô … bladi !
Les âmes des zhoms : laides ! beurrées, et pas hardies !
Malaussénien : « Souffrez, Benji, qu’on vous méprise
Eh, viens ci, Léonard, qu’on boucémissairise ! »
Prat’hic : « Voyons, Oedrhughes, il faut que cela cesse,
Galatée est à court, mêm’ si c’est une déesse ! »
[… ben voui ! cette tirade a assez duré, comme on dit à Toulon.]
Enfin, parodiant Madeleine en sanglots :
« Il y est ! Proust m’harcèle ! Long ! Tant ! J’ me suis mouché
De bonne heure. Que je te soigne ? C’est d’ ce côté ! »
Avec un peu d’ vocabulair’ , l’Abbé, cet air,
L’eusses chanté en mill’ mots, lettres et, dame ! mon blair
Te dit « Bene, lux fiat ! » quand lui pend la chandelle.
Nanmého !!! À la fin, moi, en latin, je mouche !
[Je sais, les rimes sont plates … comme (moi) mes excuses,
Edmond, si tu m’ouis, je ne sais pas ce qui m’a mal appris… tannée je suis, et ne suis pas une flèche.
Juste un hommage, toutes les scènes de Cyrano sont mes préférées, je me contenterai de cet extrait de la cinquième de l'acte I, qui n'est pas la plus célèbre, mais l'une des plus émouvantes ... sous le plaisir des mots, l'âme cache souvent les siens.
"Oh ! Je ne me fais pas d'illusion ! - Parbleu,
Oui, quelquefois, je m'attendris dans le soir bleu ;
J'entre en quelque jardin où l'heure se parfume ;
Avec mon pauvre grand diable de nez je hume
L'avril, - je suis des yeux, sous un rayon d'argent,
Au bras d'un cavalier, quelque femme en songeant
Que pour marcher, à petits pas dans de la lune,
Aussi moi j'aimerais au bras en avoir une ... et j'aperçois soudain
L'ombre de mon profil sur le mur du jardin !]
Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares
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Par Galatée4reveur le 28 Avril 2008 à 21:36
Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues [sous partie 5] [pasque je veux faire plaisir à Microcatos, ma blogueuse préférée. Vi, normalement, je devrais récupérer sous la couette ma folle nuit d'hier, mais ne rêve pas, tu n'en sauras pas plus sur ma vie privée !]
Mais oui, blogueur, blogueuseS, Oedrhughes s'enhardit, et rosse tant qu'à la fin,
ses ires, à nos oreilles, parviennent.
L'ouis tu, le primal cric ?
[Tiens, voilà Raphaël qui repasse, avec la bonne ! C'est vraiment n'importe quoi dans ce désert ... on s'demande à qui ça sert, tous ces rêves un peu bizarres ...]
Ben vi, cher lecteur
[enfin, pas le deezer ... pasque çui-là, le jour oùje saurais l'installer, Chewbaka aura le crâne poli comme un oeuf ! Zidane, si tu passes par ici ... plus on est de fous ...] ,
chère lectrice,
c'est là qu'est l'os ! Car Wilde, wilde, wilde is the world,
crois-en Cat, kid, et ses deux doigts !
Iodaspokos, dans sa poissitude
[l'était pas loin du Pecq, note ça dans tes tablettes, Grégory ... et lâche cette cape bleue, à la fin !]
avait téléportationné Oedrhugues au festival d'Avignon'oss !
"À moi, les subs.temps.tifiques chevaliers !"
braillait-il, handicapé, aveugle et sourd, conséquemment au noir maelström de son téléportationnement. Interdit, nu, vulnérable,
face à l'Abbé de l'Épée qui venait de conspuer son beau nez.
He was back ... mais white.
Cependant, si l'abbé se gausse, courbé de rire, il n'a point d'esprit,
nom de Diaud !
Et Oedrhughes s'embrase, même s'il n'est pas un n(e.)ros de la Rome antique !
Quand il acoustique qu'on raille son nez, rosse, il fait dans l'urgence,
il exorcise pour extirper le mâle, hein !
[Georges, si tu m'entends, sors de ce corps !]
Et là, tout le monde est sur le pont, à Avignon,
pour assister au duel d'aux quais.
CHORAL :
(La suite pour plus tard, pasque mon capital est principal ... ou le contraire ... quoique ... et que mes cernes vont se transformer en valises, fais la vaisselle ,
ou Marcelle, hein, Bobby ?
La pointe !)
Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares
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