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Oedrhughes : La tirade d'Enée
Mythologic wars ... Episode 2 : Oedrhughes [tirade d'Enée sous partie 6] [pasqu'hier j'ai pas pu poster, à cause d'interférences intergalacticiennes orangesques. Rouge d'énervement et pénétrée d'une noire colère, je me sentis réincarnée en roman stendhalien éponyme ! Mais c'est pas grave, on va juste modifier mon profil et proposer en tag, pour vous, gens bons : "La chanteuse de Parme", sous l'égide du dieu Zéros Ramas d'sottises.]
CHORAL :(… vaut mieux, ça garde les n(e.) longs blancs.)
[Cherche pas à comprendre, sauf si t’es présoixantehuit.tare, si c’est le cas, ça devrait te mettre la pub à l’oreille. Par contre, pour les parenthèses, tu sauras, désormais, blogueur, blogueuseS (e.)gnares, que ça s’appelle une didascalie, soit une indication scénique à l’intention du scénographe suicidaire et névrosé qui aurait l’idée de mettre en scène ce monologue consternant d’aniaiseries apéritives r(e.)cardesques . mais pas p(e.)caresque, faudrait pas boire à confondre… ]
Ô, jeune Oedrhughes ! Pioche dans son imagination, interpelle l’Abbé de l’épée, convoque le pastis, cinquante et un [enfin, peut-être que ça suffira vingt …] dieux, tes pairs, et passe à la tirade d’Enée ! Alors ne te débine pas, on est à la bourre, là ! [nan, la Reine, c’est pas encore, faut d’abord qu’il envoie son père ad patres … M’enfin ! blogueur, blogueuseS, un peu de patience, contrôle ta libido !!! …. mais pas trop, quand même, pasque le pastiche sans Ô, ça ne serait plus une (e.)stware !]
OEDRHUGHES :
(WHITE un jour, white toujours [bon sang, ce que je peux être spirituelle, ja vais l’dire à ma mère, tiens, elle sera fière de mon humour décapant !], voilà-t-y pas qu’il barrit,
mettant tout son chœur dans son organe [ou le contraire …])
C’est tout ?
[L’Abbé bêle, vi, car c’est un marginal !]
On pouvait dire, odieux, bien plus original !
En variant l’pathos, prends mon exemple, tiens :
Flingueur : « Jm’en vas t’éparpiller façon puzzle
Foi d’Abbé, Oedrhughes, jaunis, t’vas voir ta gueule ! »
Mâlement prétentieux : « L’Abbé d’ la Pampers s’tut,
Mais tu commences à m’les briser menu, menu ! »
Descriptif : « C’est Laroque, que dis-je ? C’est Foucaud !
Non, cher Oedrhugues, je n’ai pas dit mon dernier mot ! »
Tendre et pratique : « Oedrhugues, mon cœur, si ton nez pique,
Prends ton carreau, va te moucher ailleurs ! Logique ? »
Pontif(e.)cal : « Vade ! Argh ! Chie et pisse copeaux !
Mus’hical : « Ça barde ! J’vais t’souffler dans l’pipeau ! »
Pompier, pon œil, de bœuf : « Tel Charon, gnard morveux,
Retourne aux urnes, va t’occuper des potes au feu ! »
Racinien : « Qui sont ses serpents qui ci, sisifflent ?
Raaaah ! Trois fois ! Ris, gogol, tu vas voir ta mornifle ! »
Corniausien : « T’as voulu m’ fout’ dans l’ bain, manqu’ de bol,
Mon tit phoque j’suis Grec, et je sais nager, lol ! »
[Vi, j’ai honte, rassure-toi, là, mon matelot, @rime-toi quand même et mets ta fortitude à l’épreuve des over lords de ma blogosphère !]
Evangel’hic : « Ton nez m’ mettra pas l’ doigt dans l’œil
Par la Sainte Amora, ou j’te chauff’rai les feuilles ! »
J’expie rien : « Ô suaire, ô déesse poire ! Ô … bladi !
Les âmes des zhoms : laides ! beurrées, et pas hardies !
Malaussénien : « Souffrez, Benji, qu’on vous méprise
Eh, viens ci, Léonard, qu’on boucémissairise ! »
Prat’hic : « Voyons, Oedrhughes, il faut que cela cesse,
Galatée est à court, mêm’ si c’est une déesse ! »
[… ben voui ! cette tirade a assez duré, comme on dit à Toulon.]
Enfin, parodiant Madeleine en sanglots :
« Il y est ! Proust m’harcèle ! Long ! Tant ! J’ me suis mouché
De bonne heure. Que je te soigne ? C’est d’ ce côté ! »
Avec un peu d’ vocabulair’ , l’Abbé, cet air,
L’eusses chanté en mill’ mots, lettres et, dame ! mon blair
Te dit « Bene, lux fiat ! » quand lui pend la chandelle.
Nanmého !!! À la fin, moi, en latin, je mouche !
[Je sais, les rimes sont plates … comme (moi) mes excuses,
Edmond, si tu m’ouis, je ne sais pas ce qui m’a mal appris… tannée je suis, et ne suis pas une flèche.
Juste un hommage, toutes les scènes de Cyrano sont mes préférées, je me contenterai de cet extrait de la cinquième de l'acte I, qui n'est pas la plus célèbre, mais l'une des plus émouvantes ... sous le plaisir des mots, l'âme cache souvent les siens.
"Oh ! Je ne me fais pas d'illusion ! - Parbleu,
Oui, quelquefois, je m'attendris dans le soir bleu ;
J'entre en quelque jardin où l'heure se parfume ;
Avec mon pauvre grand diable de nez je hume
L'avril, - je suis des yeux, sous un rayon d'argent,
Au bras d'un cavalier, quelque femme en songeant
Que pour marcher, à petits pas dans de la lune,
Aussi moi j'aimerais au bras en avoir une ... et j'aperçois soudain
L'ombre de mon profil sur le mur du jardin !]
Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares
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