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Par Galatée4reveur le 28 Avril 2008 à 04:45
Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues [sous partie 4] [pasque j’ai fini mes corrections, et qu’avant d’en avoir d’autres, pour une fois, j’essaie de ne pas travailler en flux tendu … Microcatos … je te salue !]
Oedrhughes a donc poussé, tel le cep [Cherche pas, il n’ y a pas de jeu de mots ! … j’en n’ai pas trouvé !!! Je suis gentille, j’ai pitié de tes neurones affaiblis par mon verbiage stérile, pas comme la vigne … Je reprends le fil … du tel, et comme tu le vois, c’est reparti !] dont les grappes mûrissent sous le soleil corinthien.
Corinthien, hein, très étonnant, non ?Question de charité, comme le dit Paul de Tarse, le repenti,
celui qui a rencontré Alf le loup [comment ça c’était un extra terrestre ?] sur le chemin de Damas, et qui, aveuglé par la lumière, a découvert qu’il était le fils naturel de Gilbert le Montagnos et de Steevios Ouonderos. [On est en Grèce, ne l’oublie pas ! …]
Donc, pile sous le soleil, exactement, en fait, pas à côté, juste en dessous,
Oedrhughes , euh, Oerdhrughes ? Oerdrhugues ?… mince, je viens de me rendre compte que j’avais cafouillé lamentablement avec
l’aur –tau- [tau, blogueur, blogueuseS toujours (e.)gnares, mais un peu moins quand même, grâce à moi ;-), correspond à la lettre T de l’alphabet grec ….] graphe …[Ici, on est prié d’insérer dans sa lecture une minute de silence par solidarité avec le grand moment de solitude (et si c’était le seul !!!) que je viens de vivre en relisant toutes ces variations de signes dont l’affligeant ballet m’a conduite dans le lac …]
…
[Eh ! J’ai dit « une minute » ! N’essaie pas de noyer l’omble, chevalier !]
...
...
Mais regagnons les rives, puisque nous ramons …
comme disent les feuilles avalées par les ogresques photocopieuses avides de ravir une seconde fois leur virginité pourtant retrouvée grâce au développement durable. [C’est là qu’on remarque que le fonctionnariat aiguise le sens de l’observation … Qui est le crétin qui a éloigné les machines à café de leurs jumelles à reproduire ? Pasque que veux-tu qu’on mire, dans cent papiers qui finiront en fumée ou aux ordures dans une étable ???]
Bref, nous voilà sur la rive … et que voit-on ?
Rien,
Parce qu’il est bientôt cinq heures du matin, et qu’à cette heure-là,il fait encore nuit, que je sache !
Oui, je sais, j’avais dit qu’Oedrhughes était pile sous le soleil, mais j’ai encore le droit de changer d’avis … c’est MON blog , bordel !
[La mauvaise foi, ça me connaît, et par ricochet, blogeur, blogueuseS … je ne vous oublie pas, les filles ! …
vous allez connaître aussi !]
Et puis même si le héros d’un film de guerre américain nous prêtait sa longue vue infra rouge, on n’y verrait encore …
Rien.
Parce qu’Oedrhughes a disparu !
Pfffffffffffffffffioutttttttttttttt !
Ben voui, téléportationné par Iodaspokos !
L’avait fait une fausse manip !!!
Alors, blogueur, blogueuseS, si tu veux le retrouver là où Iodaspokos l’a téléportationné, il va te falloir agiter ton bocal, secouer tes neurones à la mode orangina (Lollo Brigida t’y aidera !).
Avec l’aide d’Armand Jamot, tant en emporte le vent,
[j’aime autant pas dans une caisse …]
Déchiffre ces lettres.
Mais fais gaffe, comme ils disent chez Dupuiss’.
Essaie de démêler les fils de la communication
embrouillés par le pasdebolisme de Iodaspokos …
et trouve les maux magiques qui te permettront de commenter
si tu veux continuer à pleurer
comme le péan sur les malheurs d’Oedrhughes !!!
Sois sphinx et tais-toi, euh, non … en fait … je m’emporte, là ! Reviens, Léon … Décom’ pas !
Sinon … que la poisse soit avec toi !
Toi, toi, mon toi … là, mate,
las !
Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares
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Par Galatée4reveur le 27 Avril 2008 à 23:28
Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues [sous partie 3] [pasque ça y est, le ouiquende se finit et que je n’ai pas accompli tous les travaux qui m’attendaient … Héraklès, plombier d’Augias, file-moi des tuyaux ! .., y compris pour colmater cette histoire ! Voyons le bon côté des choses … fidélisons, fidélisons … feuilletonnons, feuilletonnons … parce que je le vaux bien !]
Oedrhughes, est donc recueilli par Phorbas le berger, qui croise Mérope, Raigina, euh, non, Regina [qui veut dire « reine » en latin ! Je ne voudrais pas que ton vernis s'écaillât, ce qui ne me laisserait pas de marbre.] de Corinthe. Celle-ci est malheureusement vieille, [d'où son nom : vieille comme] Mérope est aussi stérile qu’un hansaplast aquaprotect, alors, ni une, ni deux, elle achète le lardon voyageur à Phorbas, et elle le ramène à son mari Polybe, [non, pourtant, rien à voir avec le poneybe] qui qui est tout heureux de cette progéniture tombée du ciel. Puis elle lui tient ce langage :
« Amibe, - c’était le petit nom qu’elle lui donnait dans l’intimité - me voilà mère, enfin, sans que je le susse ! Loués soient les dieux ! Nous leur sacrifierons un poulet (mais on gardera la moto, hein !), nous garderons le secret de son origine, et nous aurons un descendant de lion, avec ce lardon, qui n’est pas laid, tu sais ! »
Or donc, les années passent et Oedrhughes grandit. [Tu es prié de remarquer que j’ai été brève et concise sur ce coup-là ! Ça s’appelle une ellipse narrative, quand on étudie les techniques de la narration …]
Il faut quand même que je te dise, blogueur, blogueuse, parce que cela aura son importance pour la suite, que ses parents avaient confié son éducation à un vieux sage.
Nain, la peau verdâtre, les oreilles pointues, c’était une sorte de schtroumpf vert sans beau nez.
[Soyons cohérents, s’il avait eu un beau nez, comment aurions-nous su qu’il avait les oreilles pointues ?]
En fait, j’aurais dû commencer par ça, ma description eût été plus percutante .
[ A l’imparfait, tu as remarqué ? Toujours à l’imparfait les descriptions , sinon, comment veux-tu que le lecteur s'identifie !!! ]
Il répondait, enfin, quand il entendait,
car il était un peu sourd aussi (!!!),
au doux nom de Iodaspokos et sa réputation dépassait de loin
les limites
de Startrekos, son village natal.
[Ici, les chiens aboient et Raphaël passe ... avec les gypsy king ... ça fait beaucoup de monde ...]
Iodaspokos était même un peu sorcier,
mais ne répète pas cette confidence blogueur discret
[Si tu es une blogueuse, donc de la gente féminine, je sais que c’est plus difficile pour toi de garder un secret, alors suis les conseils du sage Guitryos et trouve-toi des amies pour t’aider …] :
il se dit, dans les milieux autorisés, qu’il maîtrisait même les secrets de la téléportation .Ce pouvoir lui permettait de découvrir le secret des foyers grecs, secrets qu’il confiait à ses amis Ipsos et Lapeyros, de Guirec, village voisin de Startrekos.
Malheureusement pour lui, il est Grec !
[Relis la sous-partie 1, je vais pas recommencer, nanmého !
Par contre, je veux bien t’expliquer la raison de ce présent au beau milieu d’un récit au passé : c’est un présent de vérité générale.]
Et malgré toute sa sagesse et son talent, Iodaspokos souffre d’un maléfice :
il porte la poisse ! Ben voui, des dons, voui, des talents d’éducateur, voui,
mais il transmettait sa poisse aussi, son pasdebolisme, sa guigne … ô lecteur, plains-le ! C’était comme une cerise, mais gâtée par le gel d’un rappel hivernal, sur le gâteau de son enseignement.
Iodaspokos terminait donc chaque leçon par ce cri languissant
qui fendait le cœur de ses disciples,
émus par l’infâmie que la vindicte des dieux avait fait peser sur ses frêles épaules de nabot ; le lavabo lui-même se fendait le marbre
à l’énoncé de ces simples paroles argentées dont les gouttelettes annonçaient l’or du silence terminal :« Que la poisse soit avec toi, jeune Oedrhughes ! »
…Bon, voilà, j’ai planté le décor, les sardines, les tentes, les personnages, l’ordi …
Merci Iodaspokos ! La poisse est avec moi !
[… et s’il n’y avait que moi ! Demande donc à Sofia, prêtresse de Clio ou plutôt, non, ne lui demande pas, je ne voudrais pas que ton conduit auditif fût bouché par une litanie d’insanités incongrues, voire grues tout court ! ]
Alors on va peut-être se dépêcher de faire bouger tout ça.
Je ne suis pas sponsorisée par Morphée, non, je suis comme Ben Hur,
je ne m’emballerai pas ni n’arrêterai pas mon char. En thèse, je dirais :
« Pas d’affolage ! »Comme disait le grand tragédien Gabin’os,
j’ai, prim’os, un bon scenari’os, secund’os, un bon scenari’os, et, terti’os, un bon scenari’os, donc, pas d’Os !
Pas d’Ulysse ! Pas d’Hélas !
Oedhrughes partira en vadrouille, bordel !(A suivre …tu verras, blogueur, blogueuseS [le –s, c’est à cause de la réunion pour le secret de tout à l’heure], on va mettre un tit coup d’accélérateur à ce prologue un peu longuet,
on va te préparer des spéciales,
des accidents, des sorties de route,
des rebondissements et tout et tout
pour que tu reviennes tout ébaubi de cette aventure de stoquechars
et que tu trouves que Taxisecundos, à côté c’est de la rigolade pour goss’ ! )
Niiinnjjjââhhhh
[Ipsos, si tu me lis, tu sais ce que mon magnétos portationne en ce moment … Arrrgh, du son !]Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares
2 commentaires -
Par Galatée4reveur le 26 Avril 2008 à 10:47
Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhughes [sous partie 2] [pasque j’ai des machines à laver à mettre en route, et que je n’ai toujours pas fini non plus le brevet blanc … ah ! les lares, j’vous jure !]
Nous avons laissé Œdrhughes vagissant sous sa mauvaise étoile ...
Ce n’est pas tant que sa mère était une peau de vache, Yo ! Non !
C’est qu’elle aussi avait de gros ennuis …Ben voui, les ennuis grecs, c’est comme les restaus de la Huchette,
c’est souvent que ça se refile de pères en fils, de mères en filles, de tantes en neveux, d’oncles en nièces … et caetera.
Mais on ne va pas trop les plaindre, vu qu’ils ont déjà le tarama, les oliviers, l’huile qui va avec, le soleil, l’aurige de Delphes, la mer, la Venus de Milo et la victoire de Samothrace … Ah, non, c’est vrai, ils l’ont plus, le Louvre les leur a piquéS ! [COD « les » antéposé, masculin pluriel, auxiliaire « avoir » = accord. Rappel bienvenu au vu des résultats des dernières olympiades !] . Cependant, quand on voit comment elles sont abîméES, [Là, c’est l’auxiliaire « être », donc l’accord se fait avec le sujet .] ces statues, on se dit qu’il faudait peut-être demander à voir le directeur … (« On l’aura ! », comme ils disent à la Naaf ! ... vi, je pouffe, là !).Jocaste,
c’est la mère d’Oedrhughes,
avait fait un beau mariage, sache-le blogueur, blogueuse,
elle avait mis la main sur Laïospeugeos, dont le royaume était pétaradant de chars, qui sillonnaient tout le territoire.
Evidemment, à la naissance de son fils, comme tout Grec masochiste qui se respecte et qui veut connaître la liste des malheurs qui vont s’abattre sur lui, histoire d’être encore plus malheureux que s’il était resté dans l’ignorance
(Sont fous, ces Grecs !),
Laïospeugeos se rend à Delphes, dans la roulotte enfumée de la Pythie.
Roooohhh, la Pythie !
Drôlement forte celle-là : elle te dévoile ton avenir sans tarots, sans marc (Venise n’existait pas) de café (il n’y avait pas de bistrots non plus, mais des galères, si !), sans que tu aies à lui montrer tes mains pas lavées : bref, une vraie perle de voyante extra lucide !Et là : catastrof !!! (nan, pas celle de Tintin, l’éclairage était correct, puisqu’elle était lucide) Le pauvre Laïospeugeos apprend
que son fils tuera son père (c’est lui)
et épousera sa mère (c’est elle).
Et qui c’est qui rigole ? C’est nous !Donc, Laïospeugeos, qui n’a toujours pas compris, ce crétin, que de toute façon, la prophétie se réaliserait, quoiqu’il fît [subjonctif imparfait, il faut faire la concordance des temps dans un récit au passé : on ne l’a pas encore revu avec les lares.dons de la troisième étoile, faut toujours que je mâche le boulot !], cherche un moyen de renvoyer ce lardon à sa côte de porc première, car il frise l’apoplexie.
Comme il a bien écouté sa nounou quand il était petit,
il se rappelle Blanche-neige, et, vas-y mon coco, il va trouver un vieux soldat : « Caramba ! Débarrasse-moi de ce paquet, et vite fait, sinon, tu finiras enchaîné dans mes fabriques de chars ! »,
et, paf,
il lui colle le couffin dans les bras !
Seulement, le soldat, qui est capitaine et qui ne veut pas être dégradé, a eu,
ô hasard, Balthazar !,
la même tata que son roi, et, lui aussi, il a lu Blanche-Neige.
C’est pourquoi [On exprime ici un lien logique de cause à conséquence … ça non plus, on ne l’a pas encore revu, va falloir remanier mes vinaigrettes aux petits oignons … le pied !] il abandonne le pôv’ mouflet dans la forêt.
Note à l’intention des lares.dons des zôtres : copier, c’est coller,
vous voyez, vous n’avez rien inventé !!!
Or, dans la forêt se promenait Phorbas
(dont le desendant, Forban, devint barde et disco-bol avec son tube, ah !, tu te rappelles : "Danse, danse, danse, et mets tes cnémides …" ?
Unforgettable, comme disait Natalie Cole, fille de roi, elle aussi.
Phorbas n’était pas nain,
et il n’était pas sept, ce n’était pas un mercenaire non plus,
mais il avait bon cœur
(de rho cœur …nan, j’ai pas honte de mes jeux de mots laids, puisqu’on cause « cnémides » … rho, c’est la lettre « R » de l’alphabet grec, j’ai pitié de ton vernis !) et, faisant foin de toutes ces salades, il recueille le lardon !
(A suivre … on n'apprend pas au vieux linge à faire des limaces, mes chemises sont toujours pas lavées, et puis j’ai promis, décidément, qu’est-ce que je promets en ce moment, de mettre en ligne ce clipos pour les lares.dons, parce qu’un chevalier, très cavalier par ailleurs, a eu la galanterie de me rappeler qu'à cause de la différence d'âge … pffffffffff !)
Post Scriptum : [Là, c'est du latin, crétin !] Forban le barde avait une prédilection pour les Statunix, c'est pourquoi vous ne verrez pas de chars de Laïospeugeos ...
Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares
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Par Galatée4reveur le 25 Avril 2008 à 20:53
Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues [sous partie 1] [pasque j’ai des contrôles à corriger et que je n’ai pas fini non plus le brevet blanc … je vais devoir (revoir) (refaire) faire (mon) un planning , zut !]
Ben oui, je commence par l’épisode 2 ! … La faute aux lares.dons, qui croyaient connaître les aventures d’Œdipe, la faute aussi à une prêtresse de Clio, que j’ai heureusement démasquée comme appartenant aux forces obscures …
Renos, sors de ce corps !!!
L’épisode 1, ce sera Persée, au fait !
Bon, j’ai pitié de vous, blogueurs (e.)gnares qui ne faites pas partie de cette classe, ou qui ignorez l’histoire d’Œdrhughes …
Pour commencer, il ne s’appelait pas « Œdipe », nom qui signifie, je te le rappelle
[ça c’est pour respecter le vernis de culture qu’on ferait semblant de s’être posé sur les ongles entre deux siestes] : « pieds enflés ».
Non.
Son véritable nom était : Oedrhughes, du grec « rhugchos » : cheville, et « oidêma » : gonflement.D’où sa difficulté à retirer son pantalon, après un exploit … en particulier le soir où il arrosa sa victoire contre le sphinx à terre !
Mais, restons ouvriers, afin de charpenter notre culture, cessons là de papillonner et revenons à nos chevilles, …[ Petite interruption … quelqu’un aurait-il la portée musicale de la chanson Phaway, dont je n’ai que la traduction phonétique en quechua, et qui exhorte un agneau à se cacher pour échapper au loup ? … Sinon, ma fille risque de perturber mon inspiration déjà bien malmenée en cette semaine de rentrée … Je remercie et je salue au passage l’inventivité des chevaliers du primaire, personnellement, j’en étais restée à La chèvre de monsieur Seguin, d’Alphonse Daudet !]
Oedrhughes était né sous une mauvaise étoile.
D’abord, il était grec, et ce fut [passé simple du verbe être, je le rappelle, et j'en ferai d'autres des rappels, pasque les lares.dons sont comme toi, blogueur, blogueuse, assez (e.)gnares !] en pleine période mythologique, quand les dieux s’amusaient avec les hommes et les utilisaient sans vergogne [ça veut dire « honte » … à toi !] pour régler leurs différends, avec un « d » … parce que, « alea jacta est » et que « conflits » est un des maux que tu as déjà dans ton vocabulaire …
Je m’égare de Montparnasse (pas celle d’Heraklès !)
et je reviens à ma mythologie : rien à voir avec le site de rencontre,
quoique …
tu vas voir ce que tu vas voir, et puis, quand tu sauras ce que tu sauras,
tu auras raison de penser ce que tu penses !Par : une déesse sacrifiant aux dieux (e.)lares
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