• Oedrhughes, sans peur ... mais à qui on fera des reproches !

    Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues  [sous partie 1] [pasque j’ai des contrôles à corriger et que je n’ai pas fini non plus le brevet blanc … je vais devoir (revoir) (refaire) faire (mon) un planning , zut !]

     

    Ben oui, je commence par l’épisode 2 ! … La faute aux lares.dons, qui croyaient connaître les aventures d’Œdipe, la faute aussi à une prêtresse de Clio, que j’ai heureusement démasquée comme appartenant aux forces obscures …

    Renos, sors de ce corps !!!

    L’épisode 1, ce sera Persée, au fait !


    Bon, j’ai pitié de vous, blogueurs (e.)gnares qui ne faites pas partie de cette classe, ou qui ignorez l’histoire d’Œdrhughes …


    Pour commencer, il ne s’appelait pas « Œdipe », nom qui signifie, je te le rappelle 
        [ça c’est pour respecter le vernis de culture qu’on ferait semblant de s’être posé sur les ongles entre deux siestes] :                  « pieds enflés ».








    Non.

     

     


    Son véritable nom était : Oedrhughes, du grec « rhugchos » : cheville, et « oidêma » : gonflement.

     

     

    D’où sa difficulté à retirer son pantalon, après un exploit … en particulier le soir où il arrosa sa victoire contre le sphinx à terre !


    Mais, restons ouvriers, afin de charpenter notre culture, cessons là de papillonner et revenons à nos chevilles, …

    [ Petite interruption … quelqu’un aurait-il la portée musicale de la chanson Phaway, dont je n’ai que la traduction phonétique en quechua, et qui exhorte un agneau à se cacher pour échapper au loup ? … Sinon, ma fille risque de perturber mon inspiration déjà bien malmenée en cette semaine de rentrée … Je remercie et je salue au passage l’inventivité des chevaliers du primaire, personnellement, j’en étais restée à La chèvre de monsieur Seguin, d’Alphonse Daudet !]

     

    Oedrhughes était né sous une mauvaise étoile.

    D’abord, il était grec, et ce fut [passé simple du verbe être, je le rappelle, et j'en ferai d'autres des rappels, pasque les lares.dons sont comme toi, blogueur, blogueuse, assez (e.)gnares !] en pleine période mythologique, quand les dieux s’amusaient avec les hommes et les utilisaient sans vergogne [ça veut dire « honte » … à toi !] pour régler leurs différends, avec un « d » … parce que, « alea jacta est » et que « conflits » est un des maux que tu as déjà dans ton vocabulaire …

    Je m’égare de Montparnasse  (pas celle d’Heraklès !)
    et je reviens à ma mythologie : rien à voir avec le site de rencontre,
    quoique …
     
    tu vas voir ce que tu vas voir, et puis, quand tu sauras ce que tu sauras,
    tu auras raison de penser ce que tu penses !

     

                                                                   Par :  une déesse sacrifiant aux dieux (e.)lares

    « Ma bannière ... c'est ma croix !!!Big bang, trou noir ... la dynastie des Laïospeugeos »

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