•                                                                                                 
    free music


                             Chats-pitres 3



     

    Schanock : Tu connais Yves Paccalet ?

    Barock :     Vi, L’humanité disparaîtra, bon débarras ! * un compagnon du commandant Cousteau, écologiste et naturaliste, passe-moi la farine s’il te plaît.

    Merci. Critique ces humains qui ne cherchent pas à résoudre les problèmes de leur planète … Le beurre ?

    Schanock : Tiens. Ecoute donc ! «Nous produisons des enfants, beaucoup trop d’enfants ! Nous remplissons la planète de notre engeance. Nous tartinons le globe d’une couche de bambins, marmots, gosses, gamins ou mouflets, désormais si nombreux qu’une armée d’ogres n’en viendrait pas à bout. Dis, ton four n’est pas un peu trop chaud là ? Bon, je baisse un peu. Là ! Allez je reprends ma lecture, ça vaut son pesant de cacahuètes ! Dans sa Modeste proposition …, Jonathan Swift suggérait qu’on mangeât les nouveau-nés pour résoudre le problème de la faim en Irlande. Toute la terre est devenue l’Irlande et il n’y a plus d’Amérique où émigrer. Nous devrons dévorer nos bébés. En pâtés ou à la broche. À l’étouffée ou en grillades. En pot-au-feu ou en ragoût. Car les enfants grandissent, hélas ! » Dis tu m’écoutes, mais qu’est-ce que tu fabriques, à la fin ? 

    Barock :     Ben, je prépare une quiche pour Galatée !




    * Aux éditions Arthaud, 2006 


    3 commentaires
  •                                                   Chats-pitres 2



     

    Barock : Tu sais, Schanock, il y a une phrase de Gustave Flaubert que j’aime beaucoup. Elle est dans l’incipit de Un cœur simple .

    Schanock :

    Barock : « Et ce silence épandu augmentait la tranquillité des choses. »

    Schanock :  ...

    Barock :     ...

    Schanock :  ...

    Barock :     ...   Tu fertilises ? 

                                                                                                                        
                                                                                                

     
                                                        

                                                                                       

    votre commentaire
  • Barock et Schanock sont deux Chats.
    Deux Chats pas tout à fait communs, cependant.
    Ils gravitent dans l'impair-espace et observent
    de leur oeil curieux et opalin, 
    félin [l'autre aussi, remarque !] fanal, 
    le grand royaume de Motordu d’Almaterra.*

                            

                                      

    Si l'un est Pitaine, l'autre est Mot, 
    alors, même s'ils bossent, ils rament aussi, parfois,

    commentent et ont
    maille à partir, souvent.

    D'où quelques régalades de chats-Ma'lowe, comme on dit en Ma'tinique,
    ma’lous, itou.


    Ces chats-marrés te cha-luent bien, chat-rdinier,
    Puisses-tu aimer leurs chats-lades [eh, pas rétros, chat-anas !]

    Chats-rcastiques, un jour, chats-ritables toujours,

    Même si le temps se gâte, ils te promettent de te garder à l’œil :

    Ils savent qu’il n’y aura pas de chats-loupés !

     

    *Clique avec ta souris, avant que de te la faire dévorer, et trouve ICI la véritable source de mon inspiration. Un grand merci à Almaterra.

     

                                                   Chats-pitres I 

     

    Barock : C’est en s'mouillant qu’on va au charbon.

    Schanock : C’est en souillant qu’on entend Cendrillon.

    Barock : C’est en grillant qu’on attrape un P.V..

    Schanock : C’est en milan, je m’en irai, comme on dit en breton.

    Barock : C’est en bouquinant qu’on vient au mirliton.

    Schanock : C’est en plissant qu’on devient polisson.

    Barock : ???

    Schanock : Scuse !

                      « C’est en polissant qu’on devient polisson. »

                      … Ce fut en glissant, que je fis un lapsus, hon ! (t’à moi !) ;-) 


                                                      ************

                                      
    Essai de ponction paradigmatique

     


    Paragraphant, je paraphrase

    Poétisant, je paramètre,

     

    Maître,

    Im-pardon-nable, je suis

    Sourde à tes paradoxes,

    D’où ma para ... synthèse !

     

    Moralité :

    Même avec un parachute,

    Je ne suis pas sûre d’avoir le dernier mot,

    Pour l’heure, c’est pour vous que j’écris,

    Mon impôt sera lourd :

    Me faut régler ma parataxe !

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique