•  

     

     

    "Si tu ne viens pas Alain Gardère

    Alain Gardère viendra-t-à toi "

     

     

     

    P1060097---Copie.JPG

     

    ;-)

     

     

     

     

    Par : une déesse qui, même si l'actualité n'est pas le sujet principal de son impair espace,

    quand elle a appris le nom du nouveau préfet de Marseille,

    - qui vient du ministère de l'intérieur  :-)) -

    n'a pas pu résister à un jeu de mot laid... foot oblige...

     

    PS : Je sais bien que l'oeuvre photographiée représente Don quichotte,

    mais cela ajoute un piment qui me semble bienvenu... n'est-il pas ?

     


    14 commentaires
  • P1080767.JPG 

     

    Nous sommes en MMXI après Jésus- Christ.

    Toute la Gaule a viré les Romains, manu militari...

     

    P1080788.JPG

     

    Toute ?

    Non !

     

    P1080777.JPG

     

    Un petit square à Vesontio* résiste encore et toujours...

     

      P1080771

     

    Et la vie n'est pas si facile pour les garnisons de chars de Laiospeugeos

    retranchés dans la grande boucle*...

    Alors la vie s'organise,

    voyez vous-même...

     

    P1080790

     

     

    Par... Galatée, déesse Blondix, lutétienne, mais pour partie celte d'origine,

    qui a eu l'espace d'un instant

    l'immense joie de se croire retournée à Rome,

    et qui aime...

     résister ;-) 

      

     

    * Vesontio : nom romain de Besançon

    *la grande boucle : surnom de Besançon

     


    24 commentaires
  •  

     P1080610

     

    P1080618

     

    P1080628

     

     

    P1080630 

     

    P1080637

     

    P1080638

     

    P1080639

     

    P1080641

     

    P1080644

     

    P1080645

     

    P1080660

     

    P1080662

     

    P1080670

     

    P1080671

     

    P1080665

     

    Besac... c'est Besançon ! ;-)

     

    Et coucou à Marc en compagnie de qui j'ai fait cette balade

    pour une rare journée estivale.

    À suivre...

     

     

     


    10 commentaires
  •  




     ...    «la cousine à Totoche»



     

    [* Ben oui, quoi, c’est la fin et la dernière lettre de l’alphabet, c’est bien le z, nan ?]

     

    Je reprends donc là où je t’avais laissé, blogueur, blogueuseS :

    « Bon, et Totoche dans tout ça ? »

    Totoche, c’est un copain d’un copain…
    Maladroit, mais maladroit…
    Tiens, à Noël, si ta belle-mère t’a offert un cadeau affreux,
    que c’est à faire pleurer même les Erynies,

    blogueur, blogueuseS, mets-le sur la table
    où tu auras amoureusement disposé tes couverts
    pour devenir une célébrité dans « Un dîner presque parfait »
    et invite Totoche...

    Il cassera le baeckehoffe (seule relique familiale de ta grand-mère,
    que tu n’as par ailleurs jamais connue, et dont c’est le seul vestige correct sur cette terre),
    dans lequel tu as mitonné ton bœuf en daube pendant deux heures.

    Deux heures pendant lesquelles tu as payé ton tribut à l’
    Éducation Nationale


    en corrigeant cinquante copies où tu as tendrement et patiemment recopié trente fois que le respect commence par son propre travail et retiré chaque fois deux points pour le soin et la propreté.


    Le dit-plat, en explosant, projettera paraboliquement sa sauce et ses bouts de viande un peu partout dans la pièce,


    Y compris sur le tas de copies que tu as étalé pour vérifier qui était le crétin
    qui a recopié sur sa copie « NOM » « Prénom » « 6C »
    au lieu d’y pondre ses coordonnées personnelles…


    Y compris, ôssi sur le nouvel ensemble adorable de grande marque que tu as péniblement eu, (intact, un miracle !), à l’arrachée aux soldes, mais en un achat compulsif et somptuaire, à l’intention de ta petite dernière,

    que même ton banquier,
    qui ne connaît pas le véritable sème de cet adjectif qualificatif à connotation péjorative, a compris que pour la résorption de ton découvert à la banque, c’était tintin,
    et que tu te rappelles


    (enfin, tes oreilles, parce qu’il a l’organe puissant, si, si…)


    la soufflante qu’il t’a passée quand tu es venu(eS) lui réclamer du rab’,

    même que tu as dû refaire ton brushing au lieu de faire réciter son poème à ton lare.don, pasque les invités allaient arriver et que demain,
    tu devras signer un mot de la maîtresse, qui s’étonnera sèchement que les devoirs d’un enfant de collègue soient si peu suivis !


    MAIS le vase,

    Lui,


    il est intact.

     

    C’est te dire si Totoche est maladroit…

     

    Eh bien les copains de mon copain, ils m’appellent « la cousine à Totoche » !!!


    Va savoir pourquoi…

     

    Par : une déesse qui s’excuse auprès de Michelle, sa collègue de Lettres,
    qui n’a pu partir aux dernières vacances que vendredi à la toute fin de la journée, alors qu’elle n’avait qu’une heure de cours, parce qu’elle cherchait ses clés.
    Je l’excuse même d’avoir ouvert mon casier sans ma permission
    et d’être venue me déranger pendant mon cours pour voir, si, « par hasard, elles n’étaient pas tombées dans mon cartable », (sic)
    et je lui pardonne bien volontiers d’avoir eu à exhiber le contenu des poches de mon manteau
    devant les lares.dons des zôtres, médusés par cet immonde fatras,
    pasque, ce coup-là, j’étais sûre de n’y être pour rien…

    C’est pas ma faute si le papier cadeau de ma copine Cath recouvrait le trousseau que j’avais mis dans mon casier…
    je jure que je ne savais même pas qu’elle avait une C3 comme moi…
    D’ailleurs, parole de cousine à Totoche, je me souviens même pas de les y avoir mises,
    ces foutues clés !

     



    P.S. Tant que j’y suis, je m’excuse ôssi auprès de Tintin, en 6D (d’abord, il a qu’à manger de la soupe et développer son organe vocal) : j’ai pas fait exprès non plus de l’enfermer dans la salle de cours lundi soir…. M’enfin !



    38 commentaires
  • [rediff' du 19 octobre 2008]



    La salle des profs, épisode 1 a : On m’appelle «la cousine à Totoche»


     

    Allez, zou, je me lance, pasque y a pas que les lares.dons des zôtres dans mon temple de la culture, tu sais, celui où je dispense mon savoir de blonde mononeuronale
    (et si tu sais pas de quoi je parle, va t’en vite lire l’article précédent, rapport à mon B.R. anémique, tu feras une bonne action pour le Galatéethon…).


    Aujourd’hui, blogueur, blogueuseS,
    on va t’instruire sur les revers envers de l’Education Nationale,
    j’ai nommé : le panthéon des profs
    .

    Attention, cet article n’est pas destiné aux mineurs,
    pasque, oui, bon, vu l’extérieur de l’impair espace, ça peut faire peur,
    quoique…

    Bref, dans ces chroniques de la profitude ordinaire,
    tu sauras, m’enfin, tout ce que tu as toujours voulu savoir
    sur ce qui se passe quand un(e) prof va au charbon…

     

     

     

    As-tu jamais entendu le cri languissant du prof,
    à l’heure de la sonnerie, le midi, au-dessus des casiers ?


     

    « Quelqu’un a-t-il vu mes clés ? »



    Avec des variantes plus ou moins colorées selon les matières.
    Ce qui, avouons-le, laisserait songeur Ionesco lui-même :

     


    Le prof de lettres… et le néant :

    Or donc, mais où est passé ce ni qucar de porte clés ?

     

    Le prof de maths :

    Soit un parallélépipède constitué par cette pièce autrefois enfumée
    que constitue la salle des pofs,

    soit une population de douze personnes,

     

    [ là, je corrige : environ … pasque, dans la douzaine, y en a qui vont aux toilettes (ben si… ),
    d’autres faire des photocopies de dernière minute,
    (mais pour préparer les cours de la semaine prochaine, hein…)
    et d’autres encore qui stationnent devant la porte
    pour répondre aux questions des lares.dons des zôtres
    qui sont assez  inconscients pour frapper à la dite porte de ce sanctuaire,
     pour protester au sujet d’un calcul approximatif de points au dernier contrôle
    ...les  innocents !!!
    et après on s’étonne de commémorer des horreurs comme la saint Barthélémy !]

     

    sachant qu’il y a au moins onze énergumènes susceptibles de
    penser
    de manière fractale et aléatoire, 

     

    [bien sûr, il se compte pas, mais il pourrait garder « douze » comme variable,
    pasque moi, je compte pour deux dans sa définition,
    mais, bon, en même temps, un prof de maths, ça peut pas toujours connaître
    les lois de la physique de l’impair espace…]

     

    combien de temps mettrai-je pour retrouver l’objet sphérique
    que constitue mon porte clés ?

     

    [Sa femme est fan de foot, elle a offert à Raymond un porte clés- ballon de la coupe du monde,
     (celle de 98, hein !),
    mais elle a quand même le bon goût
    de ne pas demander à Raymond de poser nu pour des calendriers…]

     


    La prof d’arts plastiques :

    MA clé ?...

     

    [Il n’y a pas que des désavantages dans cette matière :
    on a TOUS les élèves,
    mais on n’a qu’UNE salle !]

     


    Le prof de musique :

    Voici les clés… au sol ! 

     

    [Lunaire, l'est souvent à côté de sa portée...] 


    La pouf pof prof de physique :

    [En fait, je m’arrête là : pas de citation, j’en ai déjà trop dit…]

     


    La prof d’allemand :

    [ Peux pas non plus citer, pasque je connais pas un traître mot d’allemand,
     à part « Giben zie mir ein stük braut »
    (Mes excuses pour l’orthographe, pasque si je sais pas parler l’allemand,
    ça paraît logique que je sache pas l’écrire non plus, hein..),
    mais elle est sympa, la déesse d’allemand (dont elle a aussi le physique, d’ailleurs…)

    [Blogueur, arrête de rêvasser, et reviens à ta lecture !!!]

    elle est sympa, expliquai-je, 
    pasqu’elle m’a appris à ajouter « eine bier, bitte »

    … pour que je ne meure pas de soif
    le jour où je l’accompagnerai à une sortie en Allemagne.]

     

    La prof d’anglais :

    To be or not to be free… that is the keystionne…

    [Coucou, Missiz C !]

     

    La prof d’histoire géo :

    [Là, je cafte, j’identifie, je nomme, j’ai nommé : Microcatos !]

    Dis, Galatée, où t’as mis mes clés ???
    [Pasqu’elle, elle va toujours à l’essentiel, Microcatos,
    et puis elle me connaît bien,
    mais bon,

    en même temps,
    c’est ôssi ma copine, alors…]

     

    Le prof de techno :

    Bor..el de pétard,
    où est-ce qu’elles sont allées se fourrer encore, ces coquines-là ?
    [En même temps,
    c’est ôssi un homme, alors…]


     

    Le prof d’E.P.S. :

    [L’a pas d’salle… l’a pas de clés !!!]

     


    Le prof de l’être classique :

    Dans cette aporie où je me trouve,
    je Sénèquerai bien sa mère...
    comme disent mes disciples !

     


     

    Je dis Grèce, je dis Grèce… et Totoche, dans tout ça ?

    Ben, blogueur, blogueuseS,
    tu sauras ça au prochain épisode de ma chronique !




     

    Par : une déesse qui… adore (presque tous) ses collègues profs du temple éducatif, et qui espère que ceux qui ont l’adresse de ce blog essuieront à leur tour leur mascara en lisant ses bêtises… rapport à la cantine, où j’ai bien des misères pour ne pas quitter les lieux avec un visage de ramoneur,
    tellement on rigole bien.

    P.S. Si vous connaissez un « waterprof » de qualité, contactez-moi vite, c’est urgent…


    20 commentaires